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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 10:57

 

Carte-Maya.jpg

Depuis des mois, les médias et internet se font l’écho d’une fin du monde prétendument annoncée dans le calendrier des Mayas. Mais que va-t-il se produire le 21 décembre 2012 ?

Pour aller à l'encontre des amalgames et approximations énoncés, Jean-Michel Hoppan (CNRS), archéologue, épigraphiste et spécialiste de l’écriture maya, nous aide à lever le voile en nous expliquant qui sont les Mayas et en nous faisant pénétrer dans leur système d'écriture et de calcul.

En décrivant finement le fonctionnement complexe du calendrier maya, le film permet de comprendre que la date « 4 ahau 3 kankin » est la date de fin d’un grand cycle qui correspond, pour certains spécialistes, au 21-12-2012 de notre calendrier grégorien et marque le début d’une nouvelle ère pour les mayas…

La fin d'un cycle oui, mais pas la fin du monde

Un message confirmé par Jean-Michel Hoppan qui lit les glyphes laissés par les Mayas et les interprète pour la vidéo :

"L’allusion à la fin du grand cycle n’est pas présentée comme étant, contrairement à ce qu'on en dit beaucoup, un cataclysme, une destruction du monde, mais mentionne le retour d’une divinité qui remet le temps en marche. Donc on a plutôt, en fait, un message de reconstruction, que de destruction".

 

 

Pour aller plus loin :

Lire l'article plus en détail sur le site de Maxiscience.com




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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 11:30

Et si la physique quantique expliquait les expériences de mort imminente ?

Selon deux scientifiques éminents, les expériences de mort imminente surviennent lorsque l’âme, formée par des substances quantiques, s’échappe du système nerveux pour entrer dans "l’Univers". Une théorie suggérant que les âmes des êtres humains seraient issues de la fabrication même de l’Univers et existeraient depuis le commencement des temps.

esprit-quantique.jpg

Les expériences de mort imminente passionnent les scientifiques comme le reste de la population. Il y a encore trois semaines, l'histoire d'Eben Alexander, ce grand neurochirurgien qui racontait son expérience de vie après la mort dans le livre Proof of Heaven (Preuve du paradis) faisait la Une de nombreux journaux. Mais une question demeure : comment et quand est-ce qu'arrive ces expériences de mort imminente ?

Selon deux scientifiques éminents, le Dr Stuart Hameroff et le physicien Roger Penrose, une expérience de mort imminente arrive lorsque les substances quantiques qui forment l'âme quittent le système nerveux pour se rendre dans l'univers. Cette théorie se rapproche donc de l'hypothèse de l'esprit quantique, qui suggère notamment que des phénomènes quantiques, comme l'intrication et la superposition d'états, sont impliquées dans le fonctionnement du cerveau, et surtout dans l'émergence de la conscience. L'essence de nos âmes serait donc contenue dans une structure appelée microtubules.

Selon les deux experts, la conscience serait donc une sorte de programme pour un ordinateur quantique contenu dans le cerveau et qui persisterait dans l'univers après la mort d'une personne, expliquant donc les perceptions, les impressions des hommes et femmes qui vivent des expériences de mort imminente. Les âmes des êtres humains seraient plus que la simple interaction des neurones dans le cerveau : elles seraient issues de la fabrication même de l'univers et existeraient depuis le commencement des temps.

Stuart Hameroff expliquait ainsi dans un documentaire :

« Disons que le cœur cesse de battre, le sang s'arrête de circuler, les microtubules perdent leur état quantique. L'information quantique dans les microtubules n'est toutefois pas détruite, elle ne peut pas être détruite, elle est juste redistribuée et se dissipe dans l'univers. Si le patient est 'ressuscité', qu'il revient à la vie, l'information quantique peut revenir dans les microtubules et le patient d'expliquer qu'il a eu une expérience de mort imminente. Mais si le patient n'est pas réanimé et meurt, il se peut alors que l'information quantique s'échappe du corps, peut-être indéfiniment, en tant qu'âme ».

Si de nombreux scientifiques critiquent cette théorie, le Dr Hameroff estime que les recherches menées en physique quantique, qui montrent notamment que les effets quantiques jouent un rôle dans de nombreux processus biologiques comme l'odorat, la navigation des oiseaux ou la photosynthèse, commencent à valider sa théorie.

Lire l'article sur l'INREES.com ou Atlantico.fr

 

Pour aller plus loin avec le Dr Stuart Hameroff  :

 

 

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 14:25

 

Le-Monde-d-Alice.jpg

Editions Michel Lafon

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Alice Herz-Sommer est née le 26 novembre 1903 dans une famille d'intellectuels tchèques. Déportée en 1942, elle fut l'une des rares survivantes du camp de Theresienstadt. Caroline Stoessinger est une pianiste de renom, fondatrice de l'Académie Mozart à New York, qui enseigne la musique aux enfants défavorisés. Elle a coécrit ce livre-testament.

Résumé du Livre :

Elle a connu l'enfer des camps, et perdu beaucoup d'êtres chers. Pourtant elle n'a aucune amertume. Comment a-t-elle pu surmonter ses épreuves ? Dans ce livre, Alice Herz-Sommer nous fait partager douze leçons, tirées de cent huit ans d'une existence hors du commun : l'importance de mener une vie authentique, de cultiver un esprit critique et ses facultés d'adaptation, entre autres. Elle nous encourage aussi à rester ouverts aux autres et à ne pas juger hâtivement, car le bien comme le mal ne viennent pas toujours de là où on les attend...

stylo bleu reduit

Aujourd'hui, à 109 ans passés, Alice est la plus âgée des rescapés de la Shoah et la plus vieille pianiste concertiste au monde. Témoins à la fois du siècle dernier et des dix premières années du nouveau millénaire, elle aura tout vu de l'humanité, le meilleur comme le pire.

En dépit de ses années de détention au camp de concentration de Terezin et des meurtres perpétrés par les nazis qui ont assassiné sa mère, son mari et ses amis, Alice tire sa victoire de son aptitude à aller de l'avant et à vivre chaque jour comme si c'était le seul. Elle n'a pas perdu son temps à poursuivre de sa rancune ses persécuteurs et les bourreaux de ses proches. Consciente que « la haine ronge l'âme de la personne qui hait, pas de celle qui est haïe », Alice fait donc le raisonnement suivant : « Je suis toujours reconnaissante d'être là. La vie est un cadeau ». Avec l'histoire d'Alice, nous découvrons des leçons de vie à notre usage au XXIe siècle. C'est un magnifique cadeau dont nous devons lui être reconnaissants. Alors, lisez ce livre, car vous en sortirez grandi !

Extrait :

"Alice vit seule, mais elle n'est pas solitaire. Elle a tout et elle n'a rien - riche de spirituel, dépourvue de matériel. Le compte en banque de son esprit est infini. Ses possessions se résument à quelques vieux vêtements, un poste de télévision antique, une poignée de photographies et son indispensable piano droit. Son visage a beau être tavelé par le soleil de Jérusalem, c'est son sourire qui la caractérise. Éclos au plus profond d'elle-même, il irradie et explose en un brusque accès de gaieté chaude et accueillante. Le rire d'Alice ne juge pas, ne questionne pas. Il reflète un monde de souvenirs coloré par l'amour qu'engendrent des années de sagesse."

Pour aller plus loin :

Après avoir lu sa biographie, je ne me lasse pas de l'écouter à travers cette interview réalisée par Anthony Robbins que j'avais également vu sur le blog de Daniel Les voies de l'âme.

 

 

 

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 17:41

Le Figaro Magazine du vendredi 23 et samedi 24 novembre 2012

Le-Figaro903.jpg

Le best-seller d'un neurochirurgien américain (voir mon article  ICI) remet sur le devant de la scène ces témoins qui disent revenir de l'au-delà. La science s'interroge de plus en plus sur ces expériences extraordinaires. Constructions de l'esprit ou réelles visions du paradis ?

Lire l'article sur le Figaro.fr

 

Le Magazine de l'INREES - Inexploré - Hors-série N°1

HS1_home.jpgPour feuilletez le magazine, cliquez sur la couverture

Le monde est en train de changer. Nous assistons à une mutation profonde de notre société : la science perd ses certitudes, la médecine observe ses limites, la société est en crise profonde, économique, sociale, humaine...

Pour ce hors-série exceptionnel, Inexploré a demandé à 17 personnalités — des scientifiques, des artistes, des médecins, des philosophes — ce qu’ils pensaient de ces changements, et de notre rapport à la réalité que la science nous invite à modifier. Que disent-ils ? En quelques mots : ce que nous prenions pour la réalité la plus solide — notre monde et notre individualité — ne sont sans doute que les reflets d’une réalité plus grande, réalité sur laquelle ni le temps ni l’espace ne semblent avoir de prise. Aussi, ce qui caractérise cette réalité, c’est le lien : aucun objet, aucun être vivant ne peut être perçu isolément. Tout affecte tout. Chacune de nos actions, et même chacune de nos pensées, affecte le monde entier. Aussi s’interrogent-ils : cette crise n’est-elle pas, aussi, le fruit de ce décalage si grand entre la nature profonde de la réalité, et notre monde actuel ?

Quelle femme, quel homme voulons-nous être devant ce monde qui demande sans doute seulement à ce que l’on soit cohérent, et que l’on ait de l’éthique avec soi-même, mais aussi envers les autres ?

Pour en savoir plus, consultez le sommaire sur le site de l'INREES ou cliquez sur sa couverture.

Bonnes lectures !

 

 

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 13:21

 

A l’occasion d’une tournée de conférences en France intitulée « Regards Croisés sur ce monde qui vient », l'INREES a rencontré deux représentants de la communauté des Indiens Kogis, peuple autochtone de Colombie, afin de savoir quels liens entretiennent-ils avec la nature et le vivant et que pensent-ils de notre comportement à l'égard de l'environnement ?

 

plume04

 

Les Indiens kogis mènent une existence secrète et isolée, au cœur de la Sierra Nevada, une île montagneuse étrange et mystérieuse cernée par la mer et les déserts de Colombie. Cette terre leur a transmis le code moral et spirituel qui régit leur civilisation. S'efforcer d'être en harmonie avec soi-même et avec le monde, telle est la devise de ce peuple de sages.

« Pour nous la terre est notre Mère, nous sommes venus d’elle. Nous y vivons mais actuellement, nous pensons qu’elle ne va pas bien, qu’elle est malade... »

nous raconte l'un des deux Indiens kogis, venu en France grâce à l'association Tchendukua pour une tournée de conférences. 

Et si l'homme avait négligé le lien qui le relie à la nature, aux animaux, à l'essence même de la vie ? Nombreux sont ceux aujourd’hui à le penser. Les questions d'écologie sont devenues en 20 ans l'une des plus grandes préoccupations des scientifiques et des environnementalistes :

« La situation est d'une telle gravité que les lanceurs d'alertes, ceux qui tentent de forcer la société à passer à l'acte, à changer, sont nécessaires. »

disait Nicolas Hulot, l'un des invités exceptionnels de ces rencontres avec les Kogis. Et si la crise profonde que nous vivons nous invitait à nous regarder un peu tels que nous sommes ? C'est principalement ce que nous encouragent à faire les Kogis : oublier les frontières pour regarder l'humanité comme une grande famille, qui partagerait ses craintes comme ses savoirs :

« Notre message est aussi de transmettre les enseignements de nos sages aux "petits frères". En tant qu'humains, nous souhaiterions continuer à réfléchir ensemble pour éviter que le monde ne disparaisse. Quelles sont les lois de la nature ? Comment prendre soin de notre Terre ? Beaucoup de gens sont intéressés par ces questions. Nous venons faire des conférences pour partager notre savoir avec vous »

nous confie l'un des Kogis.

« Les anciens ont pris grand soin de la Terre, avec beaucoup de respect, mais depuis l’arrivée des nouvelles technologies, nous avons affaire à la destruction ».

Mais que représente réellement la Terre aux yeux des Kogis, et qui sont ces Indiens, derniers héritiers des civilisations précolombiennes ? Eric Julien, fondateur de l'association Tchendukua, a été sauvé d’un oedème pulmonaire par les Indiens Kogis alors qu’il découvrait leur territoire au cœur de la Colombie. Il y reviendra plusieurs fois, des années plus tard, et sortira de ces rencontres profondément transformé :

« De rencontrer une communauté qui vit sans frigo, sans voiture, sans télévision, et qui a l'air plutôt heureuse de porter des valeurs fortes, de partager un sens collectif et d'avoir des valeurs de coopération, sur un territoire qu'elle semble respecter et avec lequel elle vit en harmonie, c'est vrai que c'est troublant. Les Kogis portent un sens que nous avons oublié. Ils ont un accès au savoir qui est déroutant, ils défendent un système de médecine préventive alors que nous sommes plutôt dans un système de médecine curative... ».

Une connaissance qui oriente leurs comportements :

« En fonction de ce qu'ils savent, ils agissent pour protéger la nature... Ils ont d'ailleurs tout un système de divination pour cela. Et ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que malgré notre savoir, car nous "savons" aussi, nous faisons un tas de rapports et un tas de films qui nous expliquent que la planète ne va pas très bien, et pourtant rien ne change. »

Et si le moment de changer, c'était maintenant ? Cela commence par ces prises de conscience, ces rencontres exceptionnelles qui nous invitent à transformer notre rapport à ce qui est pour vivre en harmonie avec les autres, avec la nature, avec la Terre.

Lire l'article sur l'INREES

« Rencontrer les Kogis, ce n'est pas faire un voyage dans le temps, mais bien découvrir un présent différent. Et n'est-ce pas le défi du dialogue que d'élargir notre regard à "l'autre" afin d'imaginer ensemble d'autres possibles ? » Eric Julien

Pour aller plus loin :

Kogis.jpg

Ce livre, nourri de textes, interviews et photos, est une "mise en dialogue" de notre modernité, via certains de ses experts, philosophes, biologistes, médecins, ethnologues, consultants, psychothérapeutes, et trois "mamus", représentants "spirituels" de la société des Indiens Kogis. [...]

 

 

 

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