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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 13:21

 

A l’occasion d’une tournée de conférences en France intitulée « Regards Croisés sur ce monde qui vient », l'INREES a rencontré deux représentants de la communauté des Indiens Kogis, peuple autochtone de Colombie, afin de savoir quels liens entretiennent-ils avec la nature et le vivant et que pensent-ils de notre comportement à l'égard de l'environnement ?

 

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Les Indiens kogis mènent une existence secrète et isolée, au cœur de la Sierra Nevada, une île montagneuse étrange et mystérieuse cernée par la mer et les déserts de Colombie. Cette terre leur a transmis le code moral et spirituel qui régit leur civilisation. S'efforcer d'être en harmonie avec soi-même et avec le monde, telle est la devise de ce peuple de sages.

« Pour nous la terre est notre Mère, nous sommes venus d’elle. Nous y vivons mais actuellement, nous pensons qu’elle ne va pas bien, qu’elle est malade... »

nous raconte l'un des deux Indiens kogis, venu en France grâce à l'association Tchendukua pour une tournée de conférences. 

Et si l'homme avait négligé le lien qui le relie à la nature, aux animaux, à l'essence même de la vie ? Nombreux sont ceux aujourd’hui à le penser. Les questions d'écologie sont devenues en 20 ans l'une des plus grandes préoccupations des scientifiques et des environnementalistes :

« La situation est d'une telle gravité que les lanceurs d'alertes, ceux qui tentent de forcer la société à passer à l'acte, à changer, sont nécessaires. »

disait Nicolas Hulot, l'un des invités exceptionnels de ces rencontres avec les Kogis. Et si la crise profonde que nous vivons nous invitait à nous regarder un peu tels que nous sommes ? C'est principalement ce que nous encouragent à faire les Kogis : oublier les frontières pour regarder l'humanité comme une grande famille, qui partagerait ses craintes comme ses savoirs :

« Notre message est aussi de transmettre les enseignements de nos sages aux "petits frères". En tant qu'humains, nous souhaiterions continuer à réfléchir ensemble pour éviter que le monde ne disparaisse. Quelles sont les lois de la nature ? Comment prendre soin de notre Terre ? Beaucoup de gens sont intéressés par ces questions. Nous venons faire des conférences pour partager notre savoir avec vous »

nous confie l'un des Kogis.

« Les anciens ont pris grand soin de la Terre, avec beaucoup de respect, mais depuis l’arrivée des nouvelles technologies, nous avons affaire à la destruction ».

Mais que représente réellement la Terre aux yeux des Kogis, et qui sont ces Indiens, derniers héritiers des civilisations précolombiennes ? Eric Julien, fondateur de l'association Tchendukua, a été sauvé d’un oedème pulmonaire par les Indiens Kogis alors qu’il découvrait leur territoire au cœur de la Colombie. Il y reviendra plusieurs fois, des années plus tard, et sortira de ces rencontres profondément transformé :

« De rencontrer une communauté qui vit sans frigo, sans voiture, sans télévision, et qui a l'air plutôt heureuse de porter des valeurs fortes, de partager un sens collectif et d'avoir des valeurs de coopération, sur un territoire qu'elle semble respecter et avec lequel elle vit en harmonie, c'est vrai que c'est troublant. Les Kogis portent un sens que nous avons oublié. Ils ont un accès au savoir qui est déroutant, ils défendent un système de médecine préventive alors que nous sommes plutôt dans un système de médecine curative... ».

Une connaissance qui oriente leurs comportements :

« En fonction de ce qu'ils savent, ils agissent pour protéger la nature... Ils ont d'ailleurs tout un système de divination pour cela. Et ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que malgré notre savoir, car nous "savons" aussi, nous faisons un tas de rapports et un tas de films qui nous expliquent que la planète ne va pas très bien, et pourtant rien ne change. »

Et si le moment de changer, c'était maintenant ? Cela commence par ces prises de conscience, ces rencontres exceptionnelles qui nous invitent à transformer notre rapport à ce qui est pour vivre en harmonie avec les autres, avec la nature, avec la Terre.

Lire l'article sur l'INREES

« Rencontrer les Kogis, ce n'est pas faire un voyage dans le temps, mais bien découvrir un présent différent. Et n'est-ce pas le défi du dialogue que d'élargir notre regard à "l'autre" afin d'imaginer ensemble d'autres possibles ? » Eric Julien

Pour aller plus loin :

Kogis.jpg

Ce livre, nourri de textes, interviews et photos, est une "mise en dialogue" de notre modernité, via certains de ses experts, philosophes, biologistes, médecins, ethnologues, consultants, psychothérapeutes, et trois "mamus", représentants "spirituels" de la société des Indiens Kogis. [...]

 

 

 

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18 septembre 2012 2 18 /09 /septembre /2012 15:20

 

Anne Givaudan et Antoine Achram sont partis au Mexique et au Guatemala pour y rencontrer les spécialistes du calendrier maya et les chamanes afin d'en savoir un peu plus sur 2012.  Ils ont posé à chacun les mêmes questions qui ont été les suivantes :


  • Que pensez-vous qu'il puisse se passer le 21 Décembre 2012 ?
  • 
Que signifie pour vous la fin du calendrier maya ?

 

Ricardo Cervantes (Teotihuacan, Mexique), Chamane, gardien des traditions Olmèques et Toltèques.

 

Puma et Carmen (Mexique), Chamanes, gardiens de la tradition Otomi. Puma est médecin traditionnel et chef spirituel. Carmen est porteuse du feu sacré et pratique la magie des femmes.

 

Narciso Koqti (Guatemala), spécialiste du calendrier Maya
Vous pouvez voir d'autres vidéos sur le site de Anne Givaudan et Antoine Achram dans la rubrique TV SOIS

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 12:53

 

Se guérir soi-même, avant de guérir la planète

 

Thich Nhat HanhA 86 ans, le maître zen Thich Nhat Hanh incarne la pleine conscience : une manière vivante de nous relier à nous-même et à ce qui nous entoure, afin de transformer notre rapport à ce qui est. Il sera à Paris-La Défense le 15 et 16 septembre pour deux jours de conférence exceptionnelle.

 

Ca y est, les vacances se terminent… Pas envie de recommencer cette vie de fou, à courir, pleins d’angoisse, tiraillés entre les études ou le boulot, les parents, les enfants, les amis, le besoin de réussite sociale ou la hantise de sombrer - chômage, inflation, crise, stress - happés par un système qui nous demande d’aller toujours plus vite, en digérant toujours plus d’infos.  

« J'ai tant couru après la vie qu’elle m’a toujours échappé, écrivait Eugène Ionesco, je n'ai pas été en retard, ni en avance, je ne l'ai jamais rattrapée pourtant : c'est comme si j'avais couru à côté d'elle ».

Est-ce une fatalité ? Le maître zen Thich Nhat Hanh nous propose de vivre différemment : en réapprenant à savourer l’air que nous respirons, la nourriture que nous mangeons, les pas que nous faisons sur cette terre.

« Tout ce que vous faites doit vous procurer de la joie, du bonheur, dit-il. Ne sacrifiez pas le but pour le moyen. »

Utopique, cette vision ? Thich Nhat Hanh n’a rien d’un moine éthéré. Il a forgé la pratique de la pleine conscience en choisissant la voie du pacifisme durant la guerre du Vietnam. Forcé à l’exil en 1966, proposé au Prix Nobel de la Paix par Martin Luther King en 1967, il s’est installé en France en 1969. En 1982, il a fondé dans le sud-ouest, non loin de Bordeaux, le Village des Pruniers, une communauté bouddhiste qui accueille chaque année des milliers de gens venus du monde entier en quête de pleine conscience, une denrée rare par les temps qui courent.

La pleine conscience consiste à ramener notre corps et notre esprit dans le moment présent, pour que notre vie puisse s’y déployer dans toute sa plénitude.

« Le seul moment où l’on est vraiment présent, où l’on peut toucher la vie, c’est le moment présent, l’ici-et-maintenant »

dit Thich Nhat Hanh. Il ne s’agit pas de rhétorique, mais d’une pratique régulière, qui se traduit par la production d’une énergie. Cultivée, entretenue, développée, l’énergie de la pleine conscience modifie le rapport au temps, et donc, la qualité du moment vécu. La respiration, la méditation, le regard profond, sont des clés qui nous permettent d’accéder à un espace de paix et de stabilité en nous-même. Dans cette énergie, nous pouvons apprendre à instaurer un rapport différent à nos émotions.

C’est donc une révolution personnelle que nous propose Thich Nhat Hanh. C’est aussi un préalable pour répondre aux défis sociaux et écologiques que l’humanité affronte aujourd’hui car

« nous devons nous guérir nous-mêmes avant de guérir la planète. »

Selon lui, toutes nos pensées, toutes nos paroles, ont une influence sur notre environnement.

« Quand les gens, ici aux Pruniers, commencent à regarder en face leur souffrance et à la transformer, pour moi c’est un éveil collectif qui se répand, souligne sœur Chân Khong, son indéfectible soutien. Quand une femme divorcée rentre chez elle, elle sait comment faire pour ne plus faire la guerre à son ex-mari, de sorte que lui aussi se sente connecté. L’éveil est progressif et collectif. Il entre dans chacune de nos cellules et touche les autres. »

Par contagion, la paix que nous cultivons en nous se répand sur ce qui nous entoure. Le maître zen Thich Nhat Hanh sera à Paris-la Défense les 15 et 16 septembre prochain pour deux conférences sur les thèmes de la pleine conscience et de l’éthique globale, ainsi qu’une grande marche méditative et des ateliers de relaxation et de partage.

« La marche méditative que nous prévoyons de faire à Paris-La Défense peut aussi toucher les gens et être un début d’éveil »

souligne sœur Chân Khong. Une occasion en or, en cette rentrée, d’amorcer le changement.


 Article lu sur le site de l' INREES

 

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 12:29

Ce qu'il faut avant tout savoir :

P.Rabhi.jpgAgriculteur, écrivain et penseur français d'origine algérienne, Pierre Rabhi est un des pionniers de l'agriculture biologique et l’inventeur du concept "Oasis en tous lieux". Il défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles accessibles à tous et notamment aux plus démunis, tout en préservant les patrimoines nourriciers. Depuis 1981, il transmet son savoir-faire dans les pays arides d'Afrique, en France et en Europe, cherchant à redonner leur autonomie alimentaire aux populations. Il est aujourd'hui reconnu expert international pour la sécurité alimentaire et a participé à l’élaboration de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification. Il est l’initiateur du Mouvement pour la Terre et l’Humanisme. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont Paroles de Terre, Du Sahara aux Cévennes, Conscience et Environnement ou Graines de Possibles, co-signé avec Nicolas Hulot.

 

 

Extrait :

« La grande proclamation de la modernité, c'est que le progrès allait en quelque sorte libérer l'être humain, mais moi quand je prenais l'itinéraire d'un être humain dans la modernité, j'ai trouvé une série d'incarcération, à tort ou à raison. De la maternelle à l'université, on est enfermé, on appelle cela un bahut. Tout le monde travaille dans des boîtes, des petites des grandes boîtes, etc. même pour aller s'amuser on y va en boîte, dans sa caisse bien entendu... Et puis, vous avez la dernière boîte où on stocke les vieux en attendant la dernière boîte que je vous laisse deviner... Voilà pourquoi je me pose la question : existe-t-il une vie avant la mort ? Parce que si vivre, c'est subir cette incarcération à vie jusqu'au moment où le système vous rejette finalement pour aller dans la transition avant votre disparition, et bien ça veut dire quoi : aliénation. Aliénation fondamentale de l'être humain... et donc à partir de là et bien évidemment, vous ne vous étonnerez pas que je n'aie pas du tout souscrit à cela et que je me suis dit : il faut que je retrouve un autre temps, un autre espace, c'est-à-dire reconquérir, en quelque sorte, la liberté de faire de ma vie ce que j'entends faire de ma vie et non pas être déterminé parce qu'on m'impose un système... »

Je vous invite à écouter cette conférence où Pierre Rabhi nous parle également de l'agriculture biologique, de notre humanité... C'est un discours passionnant qui nous prouve, encore une fois, que nous pouvons créer un monde meilleur !

Pour aller plus loin :

Son blog Pour une insurrection des consciences

Et la Fondation Pierre Rabhi

 

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2 mars 2012 5 02 /03 /mars /2012 11:51

 

2012.jpg

Éditions Alphée

Ce qu'il faut avant tout savoir :

S.SimonSylvie Simon est écrivain et journaliste. Elle a publié de nombreux ouvrages, romans, essais sur divers sujets et elle écrit dans de nombreux journaux de santé. À travers de nombreuses conférences, en France et à l'étranger, elle souhaite réveiller la conscience endormie par le matraquage médiatique, et nous invite à réfléchir, à être responsables de nos décisions en parfaite connaissance de cause, et à réviser entièrement nos valeurs et notre système de pensée.

Résumé du livre :

Nous sommes parvenus au stade où nous devons choisir entre notre évolution et notre destruction, changer notre mode de pensée, nos habitudes et par conséquent notre société. L'homme fait partie du cosmos et doit évoluer avec lui, soit de son plein gré, soit de force, mais alors cette mutation risquerait d'être plus pénible. L'auteur fait ici le point sur l'ensemble des prophéties concernant 2012 et leurs contreparties scientifiques, ainsi que sur les véritables dangers qui nous menacent, et nous montre que la survie de notre civilisation dépend de la possibilité de prendre conscience du rôle que nous jouons dans l'évolution de l'humanité et de la planète. Voici venu le temps du changement et chacun de nous doit participer à cette métamorphose, penser globalement et agir localement. C'est la seule issue pour l'homme qui, poussé par la grande mutation planétaire déjà bien amorcée, pourra basculer vers un changement de niveau de conscience dont dépend sa survie.

stylo bleu reduit

« Certains d'entre nous sont conscients de l'importance des temps que nous allons vivre, mais, se référant à l'Apocalypse, d'autres profitent de l'incertitude de notre époque et des menaces qui pèsent sur l'humanité pour prédire de terribles catastrophes, voir la fin du monde.

Si nous risquons d'assister, très bientôt, à la fin "d'un" monde, la Terre ne s'arrêtera pas de tourner pour autant et nous devons garder en mémoire que le mot "Apocalypse" est la transcription du mot grec apocalupsis, qui signifie "révélation". Rien de plus, mais c'est déjà un formidable programme que d'aucuns situent très précisément au solstice d'hiver de l'année 2012, en se basant sur les calendriers maya qui font actuellement l'objet d'un grand intérêt auprès de milliers de personnes, car ils se focalisent sur la fameuse date du 21 décembre 2012.

Qu'il en soit conscient ou non, l'homme fait partie du cosmos et doit évoluer avec lui, soit de son propre gré, soit de force, mais alors cette mutation risque d'être plus pénible. Il existe en effet des limites qu'il ne saurait franchir sans être durement rappelé à l'ordre et risquer de disparaître avec la Terre qu'il aura détruite, tel un cancer qui meurt avec l'organisme qu'il a parasité. C'est ce qui nous attend si nous ne mettons pas immédiatement un frein au délire actuel. »

Sylvie Simon a donc écrit ce livre pour essayer de rassurer les inquiets et les résignés en leur montrant qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire, mais aussi pour ouvrir les yeux. Cet ouvrage se divise donc en deux parties, la première fait état de nombreuses prédictions qui circulent partout dans le monde et la seconde recense les véritables dangers qui nous menacent et que nos gouvernants nous cachent.

« Bien qu'indépendantes d'apparence, ces deux parties ne peuvent être dissociées car, étant donné que "le hasard est le synonyme de Dieu quand il ne veut pas signer", comme le disait Voltaire [...] ce n'est pas un "hasard" si les prophéties évoquées ici concernent notre époque et la situation dans laquelle se trouve actuellement la Terre. »

Sylvie Simon conclue par les récentes découvertes de la physique quantique qui ont détruit l'image d'un monde composé d'éléments inanimés et que tout étant relié à tout le reste - chaque action déterminant une réaction - il est parfaitement normal que nous soyons confrontés à l'effet boomerang, étant donné notre comportement.

« Toutefois, rien n'est immuable dans l'univers et la physique elle-même est régie par le fameux principe d'incertitude. Il nous reste donc une petite chance de changer le futur grâce à de la volonté et une pensée constructive, mais il est grand temps de s'atteler à la tâche et non de s'entêter à pratiquer la politique de l'autruche, bien connue de ceux qui nous gouvernent.

Pour y parvenir, nous devons remettre en cause notre culture, imprégnée d'une éducation essentiellement individualiste qui fait abstraction de tout principe d'ordre supérieur, et ouvrir sur-le-champ notre esprit à la quête de la nature ultime de la réalité. Au risque de détruire une hégémonie scientifique établie, nous devons obliger notre pensée à faire un travail personnel pour parvenir à la Vérité que nous cachent notre "raison" raisonnante et, surtout, notre anthropomorphisme.

Nous devons cesser de faire confiance aux "experts" patentés, car nous connaissons à présent leur fréquente incompétence et le terrible usage qu'ils peuvent faire des droits que nous leur avons concédés avec trop de légèreté, et faire le tri entre la véritable information et le lavage de cerveau auquel nous sommes soumis chaque jour ; retrouver surtout notre bon sens et notre libre arbitre car, si nous ne pensons pas par nous-mêmes, c'est l'humanité qui pense pour nous et nous constatons à présent les dégâts engendrés par notre laxisme.
Essayons de coopérer avec la Nature et avec les autres, si différents soient-ils, plutôt que de continuer, dans notre stupide logique de guerre, à nous battre "contre" tout ce que nous ne pouvons comprendre. »

Largement documenté et renvoyant à des sources vérifiables, cet ouvrage est construit avec rigueur et objectivité. Sylvie Simon expose les faits sans concession aucune en donnant le maximum d'informations qui sont le plus souvent dissimulées ou déformées par les instances officielles. Un livre à lire d'urgence !

  Vidéo datant du 25 janvier 2010

 

Pour en savoir plus, je vous invite à consulter le site de Sylvie Simon

 

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