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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 14:01

Editions Le Souffle d'Or

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Fondée en 1962 par Peter, Eileen Caddy et Dorothy Maclean, la Fondation Findhorn est une association à but non lucratif. Eileen Caddy était une jeune Anglaise tout à fait ordinaire. Elle a su, en s’ouvrant à l’imprévu et en écoutant sa voix intérieure, faire de sa vie un chef d’œuvre et inspirer des millions de personnes sur la terre à travers le livre La Petite Voix. Elle nous a quittés le 13 décembre 2006. Dorothy Maclean est l’auteure de nombreux ouvrages, dont La Voix des anges (Ed. Le Souffle d’Or).

Résumé du livre :

Depuis 1962, le nom de Findhorn résonne comme un mot magique dans tout le monde occidental... Une aventure unique au monde ; dans une lande désolée au nord-est de l'Ecosse, une poignée de personnes fait jaillir de terre un jardin magnifique ; des fleurs et des légumes extraordinaires défiant toutes les lois agronomiques ! Aucune explication rationnelle. En fait, ces pionniers. Peter et Eileen Caddy, Dorothy Maclean, découvrent les dimensions subtiles de la nature ; Ils sont guidés dans leur tout nouvel art du jardinage par les esprits de la nature. Commence alors une fascinante coopération, au fil de messages d'une beauté et profondeur bouleversantes. Et les résultats interpellent et continuent de nous interpeller 45 ans plus tard : notre vision de la nature est terriblement réductrice, matérialiste, elle évacue des millénaires de sagesse populaire et bien des dimensions... Une communauté se crée alors, développe de nombreuses activités de formation et de recherche, recevant désormais 15 000 personnes par an, jusqu'à être reconnue comme « ONG associée » par l'ONU en 1997 avec mission d'implémenter l'Agenda 21. Elle a mené des travaux de reforestation considérables, gagné son autonomie énergétique, construit en éco-habitat, réduit son empreinte écologique ; ces réalisations permettent d'ajouter un nouveau chapitre à la présente édition. L'aventure continue. Une aventure à la fois sensible et féconde en résultats concrets. Une invitation puissante à retrouver une relation vivante, sensible, créatrice avec la nature dans toutes ses dimensions. Un livre d'anthologie, plus que jamais d'actualité.

Durant les premières années de la création de ce jardin implanté sur des dunes de sable balayées par les vents, beaucoup de personnes haut placées sont venues constater son extraordinaire végétation et la qualité de sa production.

Étonnés par ce résultat impensable, plusieurs experts agronomes sont venus prélever des échantillons de sol pour les analyser afin de comprendre comment des légumes, des arbres ont pu pousser dans cette lande désolée, ou si Peter Caddy n’utilisait pas de substances chimiques qui permettaient ce résultat. Tous ces experts revinrent dépiter. Toutes les analyses décelèrent une richesse naturelle du sol alors que ce n'était que du sable...

La vigueur, la santé et la floraison des plantes qui croissent ici en plein hiver sur une terre qui n’est presque que du sable poudreux et stérile ne peuvent s’expliquer par des apports modérés de compost, ni certainement par la pratique de toute méthode connue de culture biologique. Il existe d’autres facteurs, et ce sont des facteurs vitaux.

C’est ainsi que les résultats de leur coopération avec les forces de la nature devinrent évidents bien au-delà de leur modeste expérience en jardinage. Ils avaient à présent la preuve scientifique que quelque chose d’extraordinaire se produisait dans leur jardin.

Ce livre raconte l'histoire et la vie même de cette communauté qui débuta en 1962 au nord de l'Écosse et la manière dont ces pionniers ont contacté les esprits de la nature afin de coopérer avec eux. Une expérience qui offre la démonstration d’une philosophie pratique et d’une manière de vivre et de travailler tournées vers l’unité qui existe entre toutes les manifestations de la vie.

 

Toutes choses par un pouvoir immortel

De près ou de loin,

De manière secrète, Les unes aux autres sont reliées,

Si bien que tu ne peux cueillir une fleur

Sans troubler une étoile

Francis Thompson

 

Pour aller plus loin :

À Findhorn, petite bourgade du nord de l'Écosse, ils sont quelques centaines à vivre en réduisant au strict minimum leur empreinte carbone. Cet éco-village a même sa propre monnaie, l'Eko. Il accueille des visiteurs du monde entier qui viennent y chercher de bonnes idées écolos. Un reportage de Jürgen Hecker adapté en français par Sylvie Guyot.

Findhorn, petit paradis écolo en Écosse

Cliquez ICI pour visionner le petit documentaire de 2min21

 

 

Plus de 50 ans se sont écoulés depuis les débuts de la communauté Findhorn et du travail pionnier de co-création avec la Nature et, à ce jour, les résultats continuent d’interpeller ! Alan Watson Featherston, qui a travaillé au sein de cette communauté, a depuis mis en place un Centre de Régénération Planétaire pour promouvoir et encourager les initiatives de régénération partout dans le monde, telle que l’association Trees for Life et bien d’autres…

Sites à voir :

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 13:19

Eric Julien :

Lors de notre voyage de retour vers Bogotá, une autre surprise nous attend, mais pas celle que nous imaginions. […] Avant que l’avion décolle, une hôtesse nous avertit que le commandant de bord a ordonné que nos trois amis Kogis soient débarqués : « Car ils n’ont pas de chaussures, et leur aspect ne leur permet pas de rester dans cet avion… » Est-ce que ce sont les hôtesses qui l’ont convaincu ou s’est-il rendu compte que les Kogis ne sont pas seuls ? Il finit par revenir sur sa décision et nous décollons.

Gentil, métis colombien, d’habitude si calme, est dans un état de colère rare. Il veut parler au commandant, lui demander des explications. Impossible. D’ailleurs, dès l’atterrissage, il disparaîtra rapidement. […] Pendant tout le vol du retour, Gentil me parlera comme il parle rarement, avec émotion. Lui, d’habitude si serein, est triste, triste et furieux. Les deux vols jusqu’à Bogotá puis Santa Marta suffiront à peine pour qu’il recouvre son calme.

Dans la Sierra, comme dans de nombreux territoires indiens, les Kogis luttent pour maintenir l’équilibre de la terre par le biais de rituels et de connaissances spécifiques qui permettent aux hommes d’appréhender les règles de la nature, d’apprendre à les connaître et à les respecter. Ils luttent comme ils peuvent pour rester indiens, dans leurs diversités, sur des terres indiennes, supportant en silence les jugements de valeur, les regards condescendants de la société occidentale qui, non contente de les reléguer dans les zones les plus difficiles ou inhospitalières les menace d’éradication, réduisant les derniers survivants à la mendicité et à la dépendance.

Pendant ce temps-là, cette société occidentale, prétendument “civilisée”, au nom du développement, de façon aveugle et inconsciente, travaille à la disparition de la planète. Quelle est cette société occidentale, noyée sous des études, des expertises, saturée de centres de recherches universitaires, d’études ou d’analyses de haut niveau, qui refuse de voir et d’entendre ce qui compose son environnement, qui se contente d’utiliser ce qu’elle y trouve et de le jeter en fonction de ses besoins ? Que lui a apporté l’exploration de l’espace à la recherche de nouvelles formes de vie, sinon l’opportunité de pouvoir les détruire, si tant est qu’elles existent, puisqu’elle ne comprend pas et détruit systématiquement toute vie sur terre, jusqu’à sa propre vie ?

Sachant cela, on peut être sûr que nous ne pourrons pas apporter grand-chose de bon à d’éventuelles formes de vie que nous pourrions découvrir sur d’autres planètes. Quelle est cette société occidentale qui dispose de connaissances, mais qui refuse de reconnaître et de rencontrer les savoirs et les connaissances des communautés indiennes, cette société qui, au nom d’une prétendue “civilisation” ou “développement”, se permet de marquer les autres, les Indiens, de l’étiquette de “sauvages” ou d’“archaïques” ?

Quelle erreur et quel aveuglement, car être sauvage pour les Indiens, ce n’est rien d’autre qu’être libres. L’homme capable d’établir une relation avec son frère l’arbre, avec son frère le fleuve, son frère l’air et toutes les formes de vie qui composent son environnement, qui est à même de comprendre et d’entendre la richesse et la densité du silence est libre. S’ils n’avaient pas à subir la pression et le dénigrement de nos sociétés modernes, les Indiens pourraient sûrement vivre “sauvagement” heureux.

L’homme occidental ne se rend pas compte qu’il est lui-même un sauvage, avec la liberté en moins. La ville n’est rien d’autre qu’une jungle, celle du développement. On y rencontre la contamination, la pollution, le bruit incessant, la violence, on y rencontre aussi le métro, qui ressemble à l’Anaconda sacré de nombreuses communautés indiennes. Dans ces villes, il suffirait de couper l’énergie une heure pour que cela tourne au désastre et au chaos.

Dans ces villes, on trouve des espèces de grottes où vivent et travaillent des hommes des cavernes développés, on rencontre des millions d’esclaves, victimes de leurs propres développements, des esclaves qui ne peuvent faire un pas sans rendre hommage à leur dieu, l’argent. Si c’est ça, l’homme moderne et développé, un esclave, un esclave de lui-même, soumis à l’argent comme l’étaient les esclaves à leur maître, au temps de la traite des Noirs, alors je préfère rester auprès des Kogis un sauvage sous-développé.

Et que dire du cannibalisme ? Jour après jour, dans ses mots, ses comportements, au travail, dans l’entreprise, l’homme moderne est un cannibale. Quel est l’homme qui ne désire pas prendre la place de l’autre, avoir une meilleure position sociale que lui ? Quelle est l’entreprise qui ne rêve pas d’être la première, qui ne souhaite pas acheter ou faire disparaître ses concurrents ? Non seulement, c’est du cannibalisme, mais c’est une forme de cannibalisme impitoyable, vorace, cruel.

Quelle tristesse de voir l’usage que nous faisons de notre intelligence, ces énergies, ces compétences que nous mobilisons pour augmenter nos capacités de destruction ! Le paradoxe est le suivant : alors que les communautés indiennes encore porteuses de savoirs traditionnels luttent gratuitement, de façon désintéressée, pour tenter de sauver ce qui peut l’être de la planète, les sociétés modernes luttent pour sa destruction… Peut-être serait-il temps de regarder un peu en arrière pour que nous puissions nous aussi retrouver notre mémoire ?

À écouter Gentil, nous serions acteurs d’une société primitive devenue folle. Et les derniers hommes, reclus volontaires de notre folie, observeraient notre naufrage. Étrange renversement de perspective qui voudrait que ceux que nous pensons primitifs soient les plus civilisés, et nous qui nous pensons civilisés soyons les vrais sauvages.

Extrait du livre : KOGIS, Le message des derniers hommes, Editions Albin Michel

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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 11:59
En Quête de Sens - Documentaire

Marc de la Ménardière travaille pour une multinationale à New York lorsqu'il se casse le pied et regarde une pile de documentaires sur la marchandisation du monde. Il prend conscience qu'il fait partie du problème et décide de partir avec Nathanael Coste, un ami d'enfance, pour comprendre d'où pourrait venir un véritable changement.

Ce voyage initiatique autour du monde nous emmène à la rencontre d'activistes, de philosophes, de chamanes, ou de scientifiques dont le message converge. Tout au long de leur parcours, les deux voyageurs découvrent qu'un changement est déjà en marche, c'est un changement de conscience, motivé par la nécessité de vivre en harmonie avec soi-même, et avec la sphère du vivant.

Pourquoi ce film ? :

En Quête de Sens est un documentaire qui est né d'un constat partagé par un nombre croissant de citoyens : notre société occidentale est malade, prisonnière d'une logique qui engendre plus de destructions, d'injustices et de frustrations que d'équilibre et de bien être.

L'impératif de rentabilité économique à court terme prend aujourd'hui le pas sur l'intérêt général en dépit du bon sens. La logique prédatrice qui s'impose comme la norme, assombrit notre avenir commun.

Pour sortir de cette impasse ce n'est pas de plus de savoir, de plus de technologie, ou de croissance dont les hommes ont besoin, mais de plus de recul, de bons sens, en un mot : de plus de sagesse.

Tissé autour de rencontres improbables, de doutes et de joies, ce film apporte un message d'espoir à ceux qui se sentent impuissants devant leur poste de télévision.

 

Pour en savoir plus :

En Quête de Sens, un documentaire de Nathanaël Coste et Marc de La Ménardière, réalisé sans producteur ni conservateur, mais avec le soutien de 963 coproducteurs. Sortie prévue fin d'année 2014. 

Avec Vandana Shiva, Pierre Rabhi, Frédéric Lenoir, Satish Kumar, Hervé Kempf, Tim Jackson, Marianne Sebastien, Bruce Lipton, Thrin Xuan Thuan, Cassandra Vieten, Arnaud Desjardins...

Rendez vous sur : enquetedesens-lefilm.com

Facebook : facebook.com/enquetedesenslefilm

Voir également la conférence que Marc de La Ménardière avait donné au Tedx racontant son parcours atypique : Changer de croyances pour changer le monde

 

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21 octobre 2014 2 21 /10 /octobre /2014 16:35

 

Pierre-Rabhi.jpg

 

Cette vidéo est un extrait d’une intervention de Pierre Rabhi, prononcée lors d’un séminaire organisé sur le thème Comment nos actions locales peuvent-elles influer sur la société ? en octobre 2009, où il met l’accent sur l’aspect psychologique comme fondement de la crise actuelle.

Même si extérieurement la crise est bien financière (par le rôle des banques, de la FED, de Wall Street, des paradis fiscaux, des dérégulations multiples, etc.), il faut comprendre qu’elle est d’abord et avant tout interne et psychologique, c’est-à-dire que ses causes profondes initiales résident à l’intérieur de l’homme : perte des valeurs, perte de l’éthique, perte du sens commun et de l’intérêt général, etc.

Et ceci est le résultat, la conséquence, de défauts multiples qui habitent l’homme : la cupidité, l’égoïsme, l’avidité, l’avarice, l’appât du gain, le désir de pouvoir, de contrôle et de domination sur l’autre, etc.

Force est de constater que l’homme occidental est devenu essentiellement matérialiste, asocial et égoïste ; il a oublié et/ou renié ses valeurs fondamentales, il s’est écarté de la droiture et de l’éthique, il a fait fi de sa véritable nature spirituelle pour se vouer un culte à lui-même, il s’est laissé séduire et corrompre par ses propres désirs, envies, et perversions, il a cherché à jouir et à accumuler autant qu’il le pouvait, en oubliant l’essentiel : le bonheur est un état interne, quelque chose d’intimement relié à la conscience, qu’on ne peut donc pas trouver à l’extérieur, et encore moins en s’abandonnant à une concupiscence sans fin, c’est le résultat d’une harmonie avec la Nature, tous les êtres vivants qui la constituent, et l'Univers.

Une vidéo qui nous invite à la réflexion : tant que nous portons au dedans de nous-mêmes les causes de la guerre, de l’égoïsme et du tous contre tous, alors notre civilisation est perdue, car rien ne changera. Pour que le monde change durablement et sainement, il faut au préalable que nous nous changions nous-mêmes...

 

 

Le problème, c'est l'être humain, si l'être humain ne change pas… Je dis souvent aux gens : vous pouvez manger bio, recyclez votre eau, vous chauffez à l'énergie solaire et exploiter votre prochain, ce n'est pas incompatible… Donc, attention au changement qui serait simplement un changement structurel qui ne serait pas un changement humain. Si l'être humain ne change pas, rien ne changera.

 

Pour une insurrection des consciences, le blog de Pierre Rabhi

 

 

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6 juillet 2014 7 06 /07 /juillet /2014 10:46

 

Johnny Barnes consacre 6 heures par jour à faire une chose adorable et très appréciée de tous les habitants de la petite ville où il réside...

 

 

Très belle et lumineuse journée à tous !

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Praticienne en Fleurs de Bach et Fleurs de l'Atlas

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Aujourd’hui il est reconnu que la majorité de nos symptômes physiques proviennent d’un déséquilibre émotionnel.

 

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