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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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17 juillet 2007 2 17 /07 /juillet /2007 09:46


À la demande de Caro[line] je prends ma plus belle plume pour répondre, avec un peu de retard, au questionnaire des quatre !

4 métiers que j'aurais aimé exercer :

* Libraire, me sentir entourée de livre toute la journée j’aurais adoré.
* Bibliothécaire : pour les mêmes raisons.
* Tenir un salon de thé avec un coin lecture m’aurait bien tenté également, mais je sais qu’il n’est jamais trop tard, alors peut-être qu’un jour…
* Sinon pendant longtemps j’ai eu envie d’intégrer le corps médical pour aider les malades en fin de vie ou être présente pour ceux qui n’ont plus de famille. J'y pense encore de temps en temps.

4 lieux où je suis allée :

* En Espagne, j’ai visité le magnifique petit village de Lesaca où le film « Le chanteur de Mexico » avec
Bourvil et Luis Mariano a été tourné.
* À Londres avec le Lycée où nous mangions tous les jours dans un restaurant italien !!!
* En Corse, lieu magique pour faire de la plongée et de magnifique randonnée !
* Au Pays Basque où j’ai vécu trois ans.

4 endroits où j'aimerais vivre :

C’est très simple, car j’y suis déjà. Après avoir fui la région parisienne, je vis maintenant dans l’endroit de mes rêves, c’est-à-dire en Aquitaine, sur le bassin d’Arcachon pour un petit aperçu de cette magnifique région rendez-vous ICI.
 
4 endroits où j'aimerais aller :

* À New York pour ses grattes ciel
* À San Francisco pour ses maisons colorées et admirer la jolie baie.
* À St Petersbourg pour ses grands boulevards et ses somptueux palais.
* En Italie, à Venise pour le côté romantique

4 mets que je ne mangerais jamais :

* Des escargots
* Des huitres et oui je sais c’est un peu bête habitant proche du banc d’arguin de ne pas en manger, mais je suis allergique à l’iode !
* Des tripes
* Poivrons farcis, impossibles à digérer, la crise de foie est de suite assurée !

4  séries télévisées que je regarde en ce moment :

* Cold Case
* Desperate housewives
* Lost
* 24

4 livres que je relirai :

* La nuit de l’oracle de Paul Auster
* La vie devant soi de Romain Gary
* Kafka sur le rivage d’Haruki Murakami
* Le livre de Joe de Jonathan Tropper

Et voilà, à qui le tour maintenant ?



 

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14 juillet 2007 6 14 /07 /juillet /2007 13:40
Les-math--matiques-de-l-amour.pngE.Darwin.png














Éditions Michel Lafon, 2007, 461 pages.
Traduit de l’anglais par Nathalie Gouyé-Guilbert.



En 1819, Stephen Fairhurst, revenu gravement blessé de la guerre, s'est débrouillé, malgré sa jambe de bois, à devenir guide touristique sur les champs de batailles, avant de se retirer dans la campagne anglaise où il vient d’hériter du domaine de Keiser.

Ayant entrepris un voyage dans le Lancashire pour demander la main de mistress Hetty Greenshaw, il se retrouve désabusé devant son refus qu’il met sur le compte de sa disgrâce physique qui provoque, devant ses dames, une réaction de répulsion. Il se rend bien compte que cette infirmité fait de lui un piètre prétendant et que toutes les femmes repousseront ses avances. Jusqu’au jour, où il fait la connaissance de la pétulante Miss Lucy, la sœur d’Hetty, qui lui demande de lui faire part des descriptions et anecdotes sur les dernières guerres afin de les retranscrire sur son carnet à dessin qu’elle emporte partout avec elle.

De retour à Kersey, il entame une correspondance avec Lucy dans laquelle Stephen, portant au fond de lui un lourd secret, se confie de plus en plus. « J’aime à vous imaginer lisant mes récits à haute voix, le soir au salon, et encore plus, épinglant mes missives au-dessus de votre table, comme vous me le dites, pour traduire mes mots en images. »

En 1976, Anne Ware est envoyée à Kersey chez son oncle Ray et son antipathique grand-mère Belle, qu’elle connaît à peine, pour y passer ses vacances d’été afin de permettre à sa mère, accompagnée de son copain Dave, de partir en Espagne à la recherche d’un Hôtel à acquérir.
 
Mais pour une jeune fille de 15 ans se retrouver isolée sans une copine à qui parler, l’ennui prend vite place « Seul problème, qu’est-ce que j’allais faire pendant ce temps-là ? Je n’avais pas vu l’ombre d’un poste de télé. Fut un temps où, si on m’avait annoncé que j’allais passer huit semaines sans rien d’autre à faire que lavez mes tee-shirts de temps en temps, je me serais dit que le monde avait enfin décidé de me foutre la paix. J’aurais dû me douter que ce n’était jamais aussi simple dans la vraie vie. Je me retrouvais à des kilomètres du premier supermarché, sans parler du reste, et à des années-lumière de mes copines. »

Ne voulant pas se sentir désoeuvrée, cloîtrée dans cette bâtisse immense et austère, elle part faire la connaissance des voisins et de leur ami Crispin, conservateur des archives Fairhurst. Ce dernier, apprenant qu’elle vit à Kersey, lui confie les copies des lettres échangées entre Stephen et Lucie.

 « Une petite écriture démodée s’étalait sur le papier mou et brillant de la photocopieuse, qui avait gardé l’empreinte sombre des pliures (…) Pour déchiffrer les mots, je devais suivre des yeux les pleins et déliés, la trajectoire de la plume, sa plume, la plume de Stephen. Il y avait quantité de lettres tarabiscotées et de tournures compassées. Des mots longs et compliqués, certains presque effacés et aussitôt suivis de traits noirs et épais, quand l’encre s’épuisait et qu’il retrempait sa plume dans l’encrier. »

Au fur et à mesure Anna va finir par découvrir le secret que renferment ses mots, ses phrases qu’elle s’amuse à déchiffrer et qui vont lui révéler que son destin est étroitement lié avec Stephen Fairhust.

Dans une jolie écriture toute en finesse, le roman d’Emma Darwin alterne les deux époques, les deux histoires qui curieusement vont se rejoindre. Il n’y a pas de larmes, pas de tragédie dans ce livre délicat qui ne parle que d’amour, mais une magnifique histoire touchante et captivante qui fera palpiter votre été !


drapeau_anglais-1.jpgLe site de l'auteur





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12 juillet 2007 4 12 /07 /juillet /2007 23:49

C'est une magnifique chanson que je vous invite à écouter. A à chaque fois que je l'entends je ne peux m'empêcher d'avoir les larmes aux yeux !


 




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10 juillet 2007 2 10 /07 /juillet /2007 21:45
Consigne-des-minutes-heureuses.pngF.Lef--vre.png













Éditions du Rocher, 1998, 155 pages.



Dans ces pages où reflète une écriture limpide et empreinte de sensibilité, François Lefèvre relate son amitié pour le poète André Hardellet qui lui a dit un jour « Vous êtes la marchande de la boutique des minutes heureuses ». Et ses moments de bonheur intenses et fugaces elle les a consignés dans ce beau recueil poétique.

« Aujourd’hui, je suis entre deux ages, ni jeune ni assez âgée pour ne vivre que de mes souvenirs. En tournant les pages des albums, j’ai l’impression que tout s’est passé dans une autre vie…Visages, paysages, amours, folies. J’éprouve alors l’urgence d’écrire des pages qui diraient le compte des minutes heureuses afin de me sentir plus légère et qu’un sang neuf coule dans mes veines, me fasse danser, mette des ailes à mes talons. C’est ma façon d’arrêter le temps. Il y a comme un petit parfum testamentaire dans cette entreprise, c’est vrai, et je dois me dépêcher d’écrire avant même que cette joie insouciante, qui parfois m’envahit comme une bouffée de muguet, ne me quitte tout à fait. »

Françoise Lefèvre se dévoile, voyage dans l’enfance à la recherche des souvenirs heureux et l’on comprend mieux l’auteur dans la confidence de ses émotions. Elle pose un regard sur le monde qui l’entoure, recherche et déguste à chaque instant les petits plaisirs de la vie, ses joies de mère, son amour pour la nature…

« Volupté de se rendormir après une nuit d'insomnie, suspendre le linge dehors, garder au chaud un enfant très peu malade. »

Dans chaque mot, chaque phrase, elle préserve précieusement les minutes du bonheur et de l’amour qui s’égrainent au fil du temps, c’est une bouffée de nostalgie et de bien-être qu’elle nous offre !


L'avis de Flo (qui a aimé) & l'avis contraire d'Essel


Existe en format poche
Consigne-des-minutes.png














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9 juillet 2007 1 09 /07 /juillet /2007 10:55




« Oh, Grand-Mère, tu es si belle, tes mains sont si rugueuses, si âpres ! je sais que, par tes mains, tu nous raconteras l’histoire de nos montages. Grand-Mère, tu es si droite ! Grand-Mère, tu ne ris pas ; tu souris presque toujours. Quelquefois, tes yeux s’emplissent de larmes. Silencieuse, tu te déplaces partout. Souriante presque toujours, pleureuse furtivement, parfois, le soir venu. De quelles souffrances parles-tu, Grand-Mère ? »

« Je ne sais pas ce qui s’est passé à la fin de la journée. Le temps s’est de nouveau écoulé. Peut-être rencontrerai-je Jorge ce soir. Je n’ai plus de chagrin. Mais un mystère demeure : le temps. Ça traîne dans ma pensée. Le temps s’en va, il s’arrête, il m’empêchera d’arriver au niveau de Jorge. Mais je suis intelligent, comme dit Papa. Jorge est plus grand, mais j’ai le temps. C’est ça. »

« Les étoiles se sont figées, sérieuses, proches, si humaines que j’en ai éprouvé une légère frayeur. Blotti contre Grand-Père, le regard levé vers son visage, j’ai cru comprendre qu’elles allaient se taire et descendre vers nous à mesure qu’il parlerait. Solennel, les yeux plongés dans les miens, il s’est adressé à moi, presque dans un murmure. Sa main a désigné l’horizon voisin, qu’il a coupé en deux de l’index. Les montagnes ont semblé se séparer pour me faire voir l’endroit où l’apparition qu’il appelait traçait sa route. Loin, très loin, il m’a semblé voir surgir un point obscur. »


Extraits tirés du livre «  La montagne ensommeillée – Contes d’une enfance andine » d'Alvaro Escobar Molina.



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