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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
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  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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20 mai 2022 5 20 /05 /mai /2022 13:54

Flying Disk France

 

Ce qu’il faut avant tout savoir :

James E. Clarkson est l’ancien directeur d’État du Mutual UFO Network dans l’État de Washington. Retraité depuis 2014, après 30 ans d’expérience en tant qu’officier de police et enquêteur sur les fraudes de l’État. Il a rejoint le MUFON en 1986 et a donné de nombreuses conférences à la radio et devant des auditoires à travers les États-Unis, y compris une conférence à Paris en 2011. En tant qu’enquêteur sur les ovnis, il travaille en étroite collaboration avec deux des chercheurs les plus engagés : Peter Davenport, directeur du National UFO Reporting Center, et William Puckett, directeur de l’UFOSNW. Il a également écrit en 2013 un livre sur un crash d’OVNI peu connu survenu dans l’État de Washington : Westport UFO Crash Retrieval Event- A Case Study.

Résumé du livre :

Si vous passiez votre carrière de sergent de police à interroger des victimes de délits, à collecter des preuves sur des scènes de crime, des épaves de voitures et des autopsies, et que vous rencontriez une femme respectée, sans état d'âme, capable de prouver qu'elle a travaillé dans des laboratoires secrets sur la base ultra-sécurisée de Wright-Patterson AFB, et si elle vous parlait de crashs d'OVNIs, de corps d'aliens et de la façon dont la dissimulation fonctionne ? Voici l'histoire de June Crain, racontée avec ses propres mots, replacée dans le contexte de l'histoire du phénomène OVNI depuis la Seconde Guerre mondiale. Il s'agit d'une rigoureuse mise en cause de la dernière parole officielle de l'Air Force sur Roswell. Le livre-témoignage "Tell My Story" explique pourquoi Roswell et les OVNIs en général sont tout sauf une affaire classée. On en apprend beaucoup sur la mise en place du « COVER-UP » autour du phénomène OVNI chez les militaires, et plus précisément sur la base stratégique qui a été le siège du Projet Blue Book et a probablement recueilli le plus grand nombre des épaves de crashs d’OVNIs à partir des années 1940. 

Ce petit livre, dans lequel nous pouvons lire la transcription de l’entretien que James E. Clarkson a eu avec June Crain sur l’affaire Roswell, est en réalité un sacré pavé dans la mare puisque ce sont les révélations d’une ancienne employée de la base de Wright-Patterson, à Dayton dans l’Ohio, qui sont divulguées.

Entre 1942 et 1952, June Crain travaillait en tant que secrétaire au service d’essais de parachutes sur la base de Wright-Patterson et habilitée au secret. C’est dans cette base, siège du projet Blue Book et peu connu du public contrairement à la Zone 51 construite en 1955, où une majorité de débris du crash de Roswell et des corps extraterrestres ont été analysés 

Étrangement, en 1997, quelques mois après l’évènement ovni connu sous le nom des "Lumières de Phoenix" et observé par un grand nombre de personnes puis ridiculisé par le gouverneur de l’Arizona afin de désamorcer l’engouement de la population, que l’Air Force en a profité pour mettre un terme définitif, un "cover-up", autour du phénomène ovni en publiant un rapport intitulé "Roswell : Case Closed" juste avant la célébration du 50ème anniversaire de ce crash.

C’est cette honteuse divulgation de l’Air Force qui fait sortir June Crain du silence. Les dernières "explications" officielles, qu’elle qualifie de mensonges éhontés, l’ont tellement scandalisée qu’elle décide de se confier à James Clarkson, un sergent de police d’Aberdeen, État de Washington, afin de lever le voile sur cette affaire. 

« J’ai 72 ans. J’ai survécu à deux maris et à deux cancers. Que vont-ils me faire maintenant, me tirer dessus ou me mettre en prison ? »

S’étant déjà entretenue avec lui, suite à un exposé sur les Ovnis qu’il avait donné en 1993, June Crain se sent maintenant prête à raconter au public, dans les moindres détails et sous sa véritable identité, ce qu’il s’est réellement passé.

Dans les premiers chapitres, James Clarkson revient sur sa rencontre avec June, sur son histoire au sein de la base, avant de dévoiler mot pour mot la transcription de l’interview enregistrée en 1997 avec June Crain, un an avant sa mort.

« Je pense que June savait qu’elle était en train de régler ses derniers comptes. Elle a décidé de mettre fin à son silence. Il n’y a pas un seul tribunal au monde qui n’accorde pas un crédit considérable à ceux qui pensent qu’ils n’ont plus beaucoup de temps à vivre »

Au fil de cet entretien, June Crain revient sur ces corps retrouvés, qui n’étaient en aucune façon des mannequins en bois sanglés dans des parachutes ; sur ces deux autres crashs avant Roswell dont elle a eu connaissance ; sur ce petit morceau de métal de couleur aluminium récupéré sur le lieu de l’incident, dont la texture et la légèreté l’avaient impressionnée ; et sur tant d’autres choses encore… 

En annexe de ce captivant ouvrage se trouvent les divers documents transmis par June Crain. C’est un témoignage fascinant unique et empreint de sincérité de la part de June Crain, une femme honnête et fière d’avoir occupé un poste-clé dans les laboratoires d’ingénierie de la base aérienne de Wright Patterson.

 

Pour aller plus loin :

Dans cette émission, Olivier de Sedona reçoit James E. Clarkson qui fut officier de police et directeur du MUFON dans l’État de Washington. James E. Clarkson revient sur ses enquêtes les plus troublantes sur le phénomène OVNI. Cet entretien a été traduit grâce à la collaboration de Jean Librero.

 

 

 

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1 octobre 2021 5 01 /10 /octobre /2021 09:15

 

Il y a quelques jours, je vous avais parlé du livre de Calvin Parker dans lequel il témoigne de sa rencontre rapprochée avec des créatures venues d’ailleurs. 

Dorénavant, vous pourrez écouter Jean Librero, le traducteur et éditeur de l’ouvrage, que j’ai eu le plaisir de recevoir après avoir lu cette stupéfiante histoire qui m’a beaucoup troublée.

Voici un petit rappel des faits :

En fin de journée, le 11 octobre 1973 dans l’État du Mississippi, au bord de la rivière Pascagoula, Calvin Parker (19 ans) et son ami Charles Hickson (42 ans) sont en train de pêcher quand tout d’un coup, ils aperçoivent un engin ovoïde auréolé d’une lumière bleue en suspension. La terreur est à son comble quand ils voient sortir du vaisseau des créatures à la peau grise et ridée se déplaçant au-dessus du sol dans leur direction. 

Cette rencontre du troisième type, que Jean Librero va nous expliquer, est l’une des histoires d’enlèvement les plus solidement documentées, comme vous pourrez vous en apercevoir durant cette émission.

 

 

 

 

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19 septembre 2021 7 19 /09 /septembre /2021 13:59

Flying Disk France

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Calvin Parker a 64 ans. Il vit depuis toujours dans l'Etat du Mississippi, avec sa femme Waynett. Retraité, il a deux enfants. Resté silencieux la plus grande partie de sa vie sur l'incident du 11 octobre 1973, il a décidé de partager son témoignage en 2018. Depuis, il a donné de nombreuses interviews et a participé à plusieurs congrès ufologiques. Un film documentaire est en cours, basé sur son expérience.

Résumé du livre :

Le 13 octobre 1973, J. Allen Hynek, directeur du Center for UFO Studies, prenait un vol à Chicago à destination d’une cité portuaire de l’Etat du Mississippi, accompagné de James Harder, enquêteur de l’A.P.R.O. Le jour même, ils rencontraient à Pascagoula Charles Hickson et Calvin Parker, deux ouvriers des chantiers navals qui prétendaient avoir vécu, deux jours auparavant, le 11 octobre 1973, une rencontre du troisième type lors d’une soirée de pêche à la ligne. Les deux enquêteurs purent entendre également le Shérif et les adjoints du Bureau de Police du Comté Jackson, qui avaient longuement interrogé les deux hommes la nuit même de l’incident. Harder et Hynek avaient convaincu les deux hommes de se soumettre à une séance de régression hypnotique, mais dans les deux cas ils furent contraints de mettre fin à la séance après quelques minutes, l’expérience s’avérant trop violente, en particulier pour le jeune Parker, alors âgé de 19 ans. Dans leurs récits entrecoupés de sanglots, les deux hommes décrivirent avoir été enlevés à bord d’un vaisseau par trois créatures d’apparence robotique, avant d’être abandonnés par leurs ravisseurs sur le lieu de pêche où ils avaient commencé une soirée paisible.La visite de Hynek et Harder fut le début d’une enquête sur un incident qui s’imposa bientôt comme un classique des cas d’abduction ou enlèvement extraterrestre.

Le jeudi 11 octobre 1973, après une rude journée de travail, Calvin Parker et son ami Charles Hickson décident d’aller pêcher au bord de la rivière Pascagoula située dans l’État du Mississippi.

Après avoir trouvé l’endroit adéquat pour installer leur matériel de pêche, le jour commence à décliner. Il fait doux, quelques poissons ont déjà mordu à l’appât, tout semble paisible quand, tout d’un coup, ils aperçoivent, derrière eux en suspension, un engin ovoïde auréolé d’une lumière bleue.

Stupéfiés par cet objet situé non loin d’eux et ne comprenant pas ce qu’il se passe, Calvin et Charles restent debout, immobiles sur le ponton à contempler la scène.

La terreur est à son comble quand ils voient sortir du vaisseau des créatures à la peau grise et ridée se déplaçant au-dessus du sol dans leur direction. « S’ils avaient eu un aspect plus humain, je n’aurais pas été bouleversé à ce point » raconte Charles Hickson.

Effectivement, ces créatures ne ressemblent à aucune description, elles n’ont pas de cou, leurs jambes sont collées l’une à l’autre et leurs pieds font penser à ceux des éléphants. 

Calvin et Charles sont saisis d’effroi. Les créatures les empoignent par le bras pour les entraîner, en lévitation, à l’intérieur du vaisseau. À cet instant, ils assistent, impuissants, à l’impensable.

Une fois libérés et déposés à l’endroit précis où ils ont été capturés, le vaisseau s’élève et disparait.

Quelques instants plus tard, ne pouvant taire cette effroyable aventure, ils s’en remettent aux autorités qui prennent très au sérieux leur déposition. Leur état de panique est manifeste, et leur honnêteté également, puisqu’ils demandent même à être soumis au détecteur de mensonges.

Cette affaire fera grand bruit. Deux scientifiques de renom feront le déplacement, le Dr James Harder et le Dr J. Allen Hynek afin de procéder à des séances d’hypnose. 

Calvin et Charles vont subir de multiples interrogatoires. Les médias vont s’emparer de leur histoire sans jamais la tourner en dérision. 

Je vous avoue que cette histoire m’a vraiment touchée, interpellée. C’est la première fois que je lis un témoignage aussi bien documenté. Tout est rassemblé dans ce livre, la transcription des interrogatoires, les séances de régression hypnotique, y compris celle réalisée par Budd Hopkins vingt ans après les faits. Archives de police, l’apparition de témoins, etc.

Il y aurait tellement à dire sur cet incident survenu à Pascagoula que si vous désirez en savoir plus, et dans les moindres détails, je vous invite à découvrir le témoignage de Calvin Parker qui a décidé, après toutes ces années, de raconter cette stupéfiante rencontre du troisième type qui a transformé sa vie à tout jamais.

 

 

Pour aller plus loin :

Cette rencontre du troisième type, que le traducteur et l'éditeur de l'ouvrage Jean Librero nous explique, est l'une des histoires d'enlèvement les plus solidement documentées, comme vous pourrez vous en apercevoir durant cette émission.

 

 

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22 juin 2021 2 22 /06 /juin /2021 10:41

Flying Disk France

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Paul Stonehill, réfugié juif d’origine de l’ex-URSS, plus précisément de l’Ukraine, est un auteur et conférencier américain, spécialiste de l’ufologie et des phénomènes paranormaux en Russie et dans les pays d’Europe orientale et d’Asie. Il a été orateur dans de nombreux congrès aux États-Unis et en Europe, et a rédigé de nombreux articles en anglais et en russe sur les OVNIs et les OANIs, ainsi que plusieurs articles sur l’histoire de la Chine antique et ses aspects paranormaux. Il est coauteur avec Philip Mantle de plusieurs livres sur le phénomène OVNI dans l’Union Soviétique et dans la période postérieure à la chute du Mur de Berlin. Paul Stonehill anime également une chaîne You Tube, Paranorma Research.

Philip Mantle est un ufologue de renom international, conférencier et producteur. Ses livres ont été traduits dans six langues. Il est l’ancien Directeur des Recherches du BUFORA (British UFO Research Association) et l’ancien représentant du MUFON pour l’Angleterre. Philip Mantle a écrit des articles pour de nombreuses publications dans le monde et a été directeur de la publication et rédacteur pour des magazines ufologiques de premier plan. Il est également co-animateur d'une émission ufologique.

Résumé du livre :

Ecrit par le grand enquêteur de langue russe Paul Stonehill, et avec l’apport de Philip Mantle, auteur et éditeur britannique, ce livre explore l’énigme-clé que constitue le phénomène des objets sous-marins non identifiés, qui sont signalés sur les cinq continents (et dans tous les océans !) depuis plusieurs dizaines d’années. L’écrivain italien Roberto Pinotti, dont le livre CONTACTS OVNIS EN ITALIE a été publié en mai dernier, a accepté de rédiger une préface à ce livre. Pinotti, lui-même auteur d’un livre sur le sujet, rend hommage au pionnier Ivan Sanderson, et évoque plusieurs cas spectaculaires survenus en Italie dans les années 70. « Il a souvent été dit que nous en savons plus sur la surface de la Lune que sur les mers et les océans du monde terrestre » (phrase de Ivan Sanderson dans son livre Invisible Residents). Sont examinés ici quelques-uns des dossiers les plus sensibles de l’ex-Union Soviétique, parmi lesquels les mystères du Lac Baïkal, mais également ceux de nombreux autres lacs et mers intérieures moins connues de l’immense Sibérie. La majorité de ces récits n’ont jamais été partagés hors de la Russie ou de l’ancienne Union Soviétique. Ces témoignages suggèrent une présence permanente et non identifiée dans les profondeurs des masses aquatiques de notre planète.

Beaucoup d'ouvrages abordent la question des Ovnis en se basant sur les nombreux témoignages et observations rapportés partout dans le monde. 

Dans ce livre, l'enquêteur américain d'origine ukrainienne, Paul Stonehill, et l'auteur anglais Philip Mantle vont plus loin en portant leur intérêt sur les OANIS, ces objets aquatiques non identifiés qui évoluent dans les eaux russes et internationales. 

Malgré la censure soviétique, dès les premières pages, nous apprenons que ces étonnantes observations sous-marines sont signalées depuis des décennies et concernent aussi bien les militaires de la Marine que des témoins civils.

C'est un incroyable état des lieux que dressent les auteurs sur ces nombreux phénomènes anormaux ! On y découvre d’étranges sons qui furent détectés, durant la guerre froide par des sous-marins nucléaires soviétiques, provenant d'objets se déplaçant à de grandes profondeurs.

Outre l'immersion et l'ascension d'objets de formes diverses, ou l'apparition d'une vive lumière émanant des profondeurs d'un lac, il y a aussi des rencontres pour le moins inattendues, comme de mystérieux nageurs d'aspect humain, mais mesurant près de trois mètres de haut, que des hommes grenouilles ont rencontré durant leur entraînement militaire de plongée…

En lisant un tel ouvrage si riche en témoignage et si bien documenté, ce n'est plus seulement vers le ciel que nos yeux se tournent, mais vers les profondeurs des océans, des mers, des lacs et rivières de notre planète où recèlent encore de bien nombreux et vastes mystères.  

 

Pour aller plus loin :

Dans cette vidéo, Paul Stonehill nous éclaire sur des cas souvent méconnus et Jean Librero apporte des compléments à cette interview unique. 

 

 

👉 Cet article est paru dans la revue Génération Cités d'Or #7 où vous retrouverez mes autres conseils littéraires dans la rubrique "Les lectures de Florinette"

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17 septembre 2020 4 17 /09 /septembre /2020 10:31

Voici une petite compilation d’anciens témoignages sur des apparitions d’ovnis, que l’INA a regroupés, et que je trouve toujours très intéressants à écouter, car ils n’étaient pas influencés par quoi ou qui que ce soit.

Pour celles et ceux qui n’ont pas accès à YouTube, je vous en ai extrait quelques-uns en recopiant leur témoignage et en les classant par date en fonction du déroulement des enquêtes :

 

Le 07 octobre 1954 à Poncey-sur-L’ignon, en Bourgogne-Franche-Comté :

« C’était le soir, il faisait déjà un peu sombre, j’allais fermer les volets et puis j’ai vu cette boule un peu lumineuse jaune-orange, entre l’arbre puis le toit. Puis j’avais l’impression que ça venait sur moi, car ça grossissait de plus en plus. J’ai tout laissé ouvert, j’ai pris le bébé qui avait 8 mois et je suis partie chez la voisine derrière. Quand on est rentré au bout d’une heure et demie, quand les hommes sont revenus du village,  on est allée voir et on a vu les traces. La trace faisait 1 mètre de long puis 50 cm de large. […] L’herbe n’a pas repoussé durant quatre ans… Ça avait la forme d’un cylindre. »

Ces traces si nettes, relevées à Poncey, on les retrouvera 13 ans plus tard le 21 avril 1967 en Amérique dans l’État de Virginie, une extraordinaire ressemblance, un calque presque parfait…

Le 12 mai 1967, à quelques kilomètres plus loin, suite à la venue d'un ovni dans un champ, la gendarmerie procède à une enquête extrêmement minutieuse. Un hélicoptère prend des photos verticales qui montrent bien l’empreinte en étoile matérialisée à la chaux.

Des croquis sont faits. Les trous d’ancrages du système d’atterrissage sont dessinés et cotés. Quand le rapport est terminé, on s’aperçoit qu’il correspond exactement à celui qui a été établi en 1965 par les gendarmes de Dignes, dans les basses Alpes, lors de l’atterrissage de Valensole, ainsi cette similitude parfaite entre les trous de Marliens et de Valensole.

Un an plus tard, le 21 juin 1968, c’est à Brazey-en-Morvan, toujours dans la région de Bourgogne-Franche-Comté, Mr Michaud, un cultivateur, témoigne de ce qu’il a vu dans un champ près du sien.

« Nous sommes ici sur le lieu de l’atterrissage. Nous avons retrouvé une brebis qui avait péri […] et qui avait certainement reçu des rayons, indépendamment des deux qui n’ont jamais été retrouvées […]. On avait remarqué aussi, principalement là-bas vers le bois, les limaces étaient d’une couleur assez brune, alors qu’ici, dans notre région, elles sont plutôt rose, rouge, mais pas brune. J’en ai récupéré une dizaine, que j’ai envoyé au professeur Lothier et, d’après l’analyse, il y avait quand même eu une irradiation de ces bêtes […]. Et, moi-même, à la suite de cet incident, j’avais les yeux tout rouges, etc. j’ai reçu des rayons qui venait de l’engin là-bas. J’ai eu des brûlures dans l’épine dorsale pendant 1 mois qui provenait de cette irradiation. »

Brazey, c’est l’élément déterminant, car, en étudiant quelques années plus tard les atterrissages qui se sont produits en Côte d’Or et en reportant ceux de Poncey, Marliens et Brazey sur une carte au deux cent millième, Raymond Lavier découvre que Marliens et Brazey sont tous deux distants de 43km200 de Poncey et que, de plus, les lignes sont perpendiculaires.

C’est le point de départ d’une étude qui va porter sur les quelques 200 atterrissages signalés en France depuis le premier d’entre eux, près de Rouen en juillet 1947. Ce tracé mettra à jour, grâce aux travaux d’un chercheur néo-zélandais, un quadrillage appelé "Harmonic 33" sur lequel un pourcentage élevé de ces atterrissages se situent…

 

Le 10 août 1960

Le reportage débute avec le témoignage de Mr Daniel Hiot, cultivateur à Moringhem, dans le Pas-de-Calais. Alors qu’il rentrait chez lui le soir avec sa femme, Mr Hiot a été stupéfait de voir une "boule rouge" leur couper la route et les suivre durant un petit moment.

« En dessous c’était une boule rouge et au-dessus il y avait une masse. […] C’était comme un soleil, mais au-dessus on ne peut pas dire que c’était rond. […] On peut dire qu’il y avait quelqu’un dedans certainement, puisqu’il y avait des arbres et elle est passé entre-deux. Alors certainement qu’il y voyait clair. »

 

Le 14/02/1965

C'est dans le Puy-de-Dôme, entre Le Bouchet et Vauriat, qu'une dizaine de personnes ont été témoins de la visite d'objets volants non identifiés... Voici le témoignage de ces trois personnes qui ont relaté les faits :

Le premier témoin : « On aurait dit derrière que c’était des pattes d’araignée, comme des écrevisses. Ça dégageait comme du gaz. […] Du bruit comme un grincement. » […]

Les deux autres personnes : Jean : « On l’a vu ensemble […] J’étais absolument hypnotisé par cet objet insolite, lorsque Chimène me prend par le bras et me dit : « Jean regard ce qui vient par là ». Nous avons regardé. Alors là, franchement, nous avons eu peur l’un et l’autre, mais vraiment peur, car les trois objets qui apparaissaient à l’horizon étaient en tout point semblable au premier. » […]

Chimène : « Ils s’amusaient ensemble. Mais alors, des mouvements symétriques : "verticale, horizontal, vertical, horizontal". » […]

Jean : « Lorsqu’au moment précis où il semblait que tout allait s’effondrer au milieu d’un choc effroyable, le premier objet est monté en altitude […] Il est monté avec une vitesse extraordinaire, j’estime à plus de 2000 à l’heure. Au bout d’un moment, on n'a plus vu qu’un seul petit point noir. […] On ne peut pas parler d’hallucination. »

 

Deux ans plus tard, un vieil homme se souvient de cette soirée du 5 février 1967 quand il s’est trouvé nez à nez avec un extraterrestre après avoir fermé son portail à clef…

« Tout d’un coup, qu’est-ce que je vois, un objet qui passe par dessus le cimetière, on voyait les tombeaux si bien éclairés qu’en plein jour. […] J’appelle la patronne : "Vient vite voir, vient vite voir l’appareil. Mais regarde donc l’engin""J’ai eu peur, j’ai dit ça va brûler la maison et nous avec. Je me suis sauvée dans la cuisine et puis je n’ai pas bougé.” » […]

« On a vu une boule simplement qui se reformait. Il est sorti des flammes rouges, tel que l’objet lui-même, sans bruit, sans rien du tout. Tout d’un coup, il s’est posé par terre. Qu’est-ce que je vois, un petit bonhomme qui sortait des flammes orange et puis il s’est tourné, il s’est tourné vers moi. J’aimerais mieux vous dire franchement, comme un petit cosmonaute, mais tout petit, s’il avait un mètre de hauteur, c’est tout ce qu’il peut avoir. » […]

Ensuite, ce monsieur rentre de nouveau précipitamment chez lui pour dire de venir voir ce petit bonhomme qui vient de sortir. Sa femme n’a pas voulu, elle a eu trop peur, ce n’est que sa petite fille qui a suivi son grand-père :

« Nous avons vu une boule simplement qui se reformait, énorme comme un gros ballon tout à fait aussi rouge que l’objet lui-même et qui est monté à une distance […] à hauteur des sapins […] il est monté tranquillement, sans bruit, sans rien. […] il s’est arrêté deux, trois secondes. J’ai dit tout de même, qu’est-ce qui va encore se produire ? Puis tout d’un coup, il est parti en vitesse dans la direction du sud-ouest. […] »

 

Le 24/02/1971 - Journal de 13h

Mr Lagarde, "soucoupiste", enquêteur du Centre d'Études "Lumières dans la Nuit" explique, sur une série de dessins et de croquis détaillés, les diverses caractéristiques techniques des ovnis :

« Les formes des ovnis sont extrêmement diverses, le type classique, c’est la soucoupe volante en forme d’assiette renversée. Le cigare […], le ballon de ruby, la forme discoïdale, la forme d’obus, la boule lumineuse… Tous ces objets sont divers et nombreux. […] Il y a également tous les jeux de lumière […] Mais les formes de ces engins se modifient devant le témoin même. Dans les Charentes, on a vu un objet qui a pris successivement six formes différentes devant six témoins. […] »

 

Le 18/01/1974 - Journal de 13h - Avec l’intervention de Jimmy Guieu, pionnier de l'ufologie.

Croire ou ne pas croire en l'existence d'objets volants non identifiés, telle est la question que Patrick ne se pose plus, toujours sous le choc de sa rencontre avec l'un d'entre eux...

 

Le 14/04/1990

La Belgique se mobilise : un objet volant non identifié a été détecté sur les écrans radars de deux avions F16 de l'armée belge. À en croire les déductions du Colonel DE BROUWER de la force aérienne belge, la vitesse de déplacement de l'engin, ne serait pas supportable pour des êtres humains...

 

Le 09/09/1991 - Journal de 20h
 

« Depuis plus de 10 ans, de mystérieux cercles apparaissent chaque été dans les champs de blé, toujours dans le Kent, une région située au sud-est de Londres. Des scientifiques ont observé attentivement ce phénomène qui selon eux serait paranormal. » […] Après l’intervention de ces deux sexagénaires se proclamant les auteurs de ces tracés, le mystère n’est pas totalement éclairci. « Des scientifiques de renom qui se sont rendus sur place ont constaté l’apparition mystérieuse de ces cercles, et si ces deux hommes n’étaient pas de gentils farceurs… »

 

Le 22/03/2007 - 19/20 « Les archives du CNES sur les OVNI »

Interview de Jean Jacques VELASCO, ancien responsable du GEPAN-CNES, qui évoque un certain nombre de phénomènes inexpliqués qui ont eu lieu en France, notamment en 1954. Alternance entre images d'illustration et interviews.

(1971, un pilote de mirage poursuivit par un ovni / Janvier 1981, une soucoupe métallique se pose dans un jardin à Trans en Provence, laissant des traces au sol / Janvier 1994, l’Airbus d’Air-France croise un gigantesque disque…

Ainsi que cette étrange histoire survenue à Cier-de-Rivière en 1954 durant une série de phénomènes.

Un homme qui circulait avec sa charrette à cheval à Cier-de-Rivière, en Haute-Garonne, a vu un objet surgir du buisson, puis s’élever, pour se positionner au-dessus de sa carriole, "aspirer" la jument puis disparaître dans le ciel…

Claude Poher, le premier directeur du CNES en 1977 qui avait dû démissionner, était convaincu de l’ampleur du phénomène et, selon lui : il faudrait inventer une science physique entièrement nouvelle pour le comprendre...

 

Source :

 

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