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  • : Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • Association Les Lectures de Florinette - Audenge (33)
  • : "Les Lectures de Florinette" vous souhaite la bienvenue sur son site dans lequel vous trouverez ses activités, les articles de Florinette sur les différents ouvrages que l'association met à votre disposition afin de vous faire découvrir de nombreux auteurs qui nous amènent à porter un regard différent sur notre monde. Bonne visite à tous !
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1 mars 2022 2 01 /03 /mars /2022 18:02

Si vous entendez l’aboiement d’un chien dans le vieux centre-ville d’Édimbourg et que vous n’apercevez aucun chien, cela pourrait bien être Bobby, le Skye-Terrier fantôme, connu dans toute la ville. 

En 1856, Bobby devient l’animal de compagnie du veilleur de nuit John Gray. Deux ans plus tard, John meurt de tuberculose et est inhumé au Cimetière de Greyfriars. Le jour de ses funérailles, plusieurs témoins reconnaissent ce petit chien écossais en tête du cortège qui suit le cercueil. 

Dès le lendemain, le gardien du cimetière est surpris de voir Bobby couché sur la tombe de son maître. Le lieu étant interdit aux animaux, Bobby est prié de partir. Malgré de nombreuses tentatives pour le chasser, Bobby trouve toujours son chemin pour y revenir s’allonger.

Finalement, devant une telle loyauté envers son maître, le gardien obtient une dérogation de la ville qui l’autorise à y demeurer. Il va alors bouleverser la vie des habitants du quartier. Les enfants d’Édimbourg collecteront de l’argent et Bobby sera finalement adopté par l’ensemble de la ville.

Ce petit chien a monté la garde sur la tombe de son maître durant 14 ans avant de mourir en 1872. Depuis, cette histoire a fait le tour du monde, Bobby est devenu un véritable héros pour les habitants d’Édimbourg.

En 1912 l’Américaine Eleanor Atkinson la publie dans une nouvelle intitulée Greyfriars Bobby et, par la suite, deux films verront le jour, dont celui de Walt Dysney en 1961.  

 

À la mort de Bobby, une statue grandeur nature a été érigée en son honneur par la Baronne Burdett-Coutts.

Elle se situe tout près du cimetière, devant un bar qui porte son nom, et est devenue un lieu touristique important à Édimbourg, car une légende veut que toucher du bout des doigts la truffe de Bobby porte chance. Chaque année, ce sont de nombreuses personnes qui viennent la caresser en faisant un voeu dans l’espoir qu’il se réalise…

En 1981, la Dog Aid Society of Scotland érige un monument en granit rose sur laquelle on peut y lire : « Que sa loyauté et son dévouement soient une leçon pour nous tous ». 

Greyfriars Bobby reste depuis plus d’un siècle un symbole de fidélité pour les Écossais et certaines personnes disent entendre encore ses petits aboiements…

 

Source :

Cette belle et touchante histoire m'a fait repenser à celle d'Hatchi, ce chien qui accompagnait son maître tous les jours à la gare de Tokyo et allait l'attendre le soir à sa descente du train.

En mai 1925, son maître mourut d'une apoplexie sur son lieu de travail. Hatchi l'attendit fidèlement tous les soirs à la gare pendant les dix ans qui suivirent, jusqu'à son propre décès.

 

 

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26 janvier 2022 3 26 /01 /janvier /2022 16:02

Les jardins botaniques de Kew se trouvent à l’ouest de Londres, dans la ville de Richmond, et font partie des plus prestigieux au monde. 

Ces fabuleux jardins ont été créés en 1759 et abritent une exceptionnelle collection botanique : 30 000 espèces de plantes, dans l’herbarium 7 000 000 de plantes préservées ; 750 000 ouvrages dans la bibliothèque et 175 000 dessins et documents graphiques. Ces jardins occupent une superficie de 125 hectares.

Le botaniste Carlos Magdalena est responsable de la nurserie tropicale où il s’évertue à protéger les espèces les plus rares. 

Quand le petit train touristique sillonne les jardins de Kew, un drôle de spectacle se joue parfois devant les serres tropicales. Il arrive que Carlos Magdalena y accueille personnellement les visiteurs venus admirer le lieu où ce botaniste espagnol bichonne 7 000 espèces de plantes et de fleurs.

Invariablement, ses collègues jardiniers se prosternent alors devant lui comme s'il était un dieu vivant ! La blague est née en 2010 quand un journal ibérique a écrit un article sur lui en le surnommant « Le messie des plantes ».

C'est que l'horticulteur s'est fait une spécialité de rapporter de ses expéditions à travers le globe les espèces les plus rares. Du désert péruvien au bush australien en passant par les méandres de l'Amazone…

Carlos Magdalena parcourt le monde pour observer les plantes dans leur habitat et prélever les graines, fleurs ou fruits nécessaires à leur conservation.

De ses expéditions dangereuses, il revient les carnets griffonnés d'idées de protocoles de sauvegarde et le sac plein de spécimens végétaux.

Sous les serres de Kew Gardens s'épanouissent aujourd'hui des spécimens aux fleurs roses, bleues, blanches ou violettes... 

À l’extérieur, une passerelle unique en son genre, haute de 18 mètres et longue de 200 mètres, pour avoir une vue imprenable sur la canopée.

Dans son livre, Carlos Magdalena raconte comment il a confectionné à Kew Gardens une sorte "d'Arche de Noé" pour ces végétaux dont la survie est menacée.

Pour observer la reproduction des nénuphars géants, il a longé le fleuve Amazone où vivent des chauves-souris mangeuses de poissons et les fameux capybaras, les plus grands rongeurs du monde qui ressemblent à des cochons d'Inde géants.

Ses pas l'ont aussi porté dans la jungle la plus haute de la planète à Bornéo pour y trouver des orchidées uniques au monde.

Celui que l’on surnomme le "Messie des plantes" souhaite que tout un chacun prenne conscience de leur importance. 

«Les Kew Gardens sont connus partout. Dès que quelqu’un repère une plante qu’il ne connaît pas, il nous le fait savoir et on se déplace», explique-t-il. Ses équipes font aussi de la sensibilisation auprès des populations locales.

Carlos Magdalena souhaite aujourd’hui que chacun, un par un, prenne la relève:

«Reverdissons le monde et plantons un avenir.»

 

 

Pour aller plus loin :

Voici une petite visite guidée de ces splendides jardins !

 

 

 

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4 décembre 2021 6 04 /12 /décembre /2021 17:39

Editions Entre Deux Mondes

 

Ce qu'il faut avant tout savoir :

 

Jean-Claude Genel est un chercheur en sagesse, auteur d'une trentaine d'ouvrages de spiritualité vivante. Familier des états modifiés de conscience et de la quête de sens, il anime depuis 40 ans des formations sur l'éthique relationnelle et les valeurs de l'âme.

 

 

Yannick Le Cam est coach par la voie des rêves et psychanalyste jungien. Auteur de Puissance de la pensée créatrice, il collabore depuis de nombreuses années avec Jean-Claude Genel.

 

 

Résumé du livre :

Ce livre puise son origine dans le compagnonnage de l'un des auteurs avec ses chats, source d'expériences et de réflexions d'une richesse surprenante. Il nous entraîne dans une exploration du monde spirituel félin qui nous permet de comprendre le rôle que la conscience animale joue auprès de l'être humain. En donnant la parole aux animaux, les auteurs lèvent le voile sur différents aspects de notre mystérieuse relation avec le règne animal et montrent les bienfaits d'une cohabitation plus juste dans cette odyssée de la conscience. Ils pointent l'urgence de reconquérir notre véritable humanité, de ressentir l'intelligence des règnes en nous et de reconnaître celle de l'animal comme une part de nous-mêmes à identifier et à intégrer. De comprendre enfin que nous faisons partie d'écosystèmes dont nous sommes interdépendants et non les maîtres.

Dans cet ouvrage, Jean-Claude Genel et Yannick Le Cam partagent, analysent le fruit d’expériences et rencontres vécues qui les ont conduits à explorer en profondeur le monde spirituel félin. 

Grâce aux capacités de Jean-Claude Genel à rentrer en contact avec la conscience animale, il nous invite à mieux comprendre leur rôle et les bienfaits qu’apporte l’animal auprès de l’humain, ainsi que l’immense responsabilité de ce dernier vis-vis de la Nature. Les auteurs mettent également en avant :

« L’urgence pour l’être humain de reconquérir sa véritable humanité à partir d’une meilleure compréhension de sa dimension spirituelle propre, celle qui lui permet de ressentir l’intelligence des règnes en lui et de reconnaître celle de l’animal comme une part de lui-même à accepter et à dépasser. »

En ouvrant ce livre, je ne m’attendais pas à une telle exploration dans la dimension spirituelle du monde félin !

Tout commence par l’impérieux désir pour Jean-Claude Genel d’adopter un chat et par le biais de synchronicités, qui le mènent au contact d’un chaton pas comme les autres dont l’attitude semblait l’attendre, le choix fut vite fait, Shanti allait grandir près de lui.

À partir de cet instant, un lien fusionnel se tisse avec Shanti incitant Jean-Claude Genel, grâce à Anne, une vétérinaire qui entre en communication intuitive avec les animaux, à questionner ce petit être si singulier afin de connaître ses besoins. 

Surpris par tout ce qui va lui être révélé,  une autre perception et compréhension du monde vibratoire s’illumine pour Jean-Claude. Après cet entretien il devient plus à l’écoute de Shanti, leur relation se déroule beaucoup plus dans la finesse, dans le subtil, dans l’amour. 

Les échanges avec la conscience spirituelle féline sont de plus en plus riches et nous font comprendre leurs rôles, mais également celui que nous avons envers nous-mêmes, envers eux, envers les différents règnes sur cette Terre qui nous constituent également. 

« Nous sommes tous issus de la même Source, nous sommes donc en mesure d’apprendre à vivre ensemble, à aimer la vie, chacun avec ses spécificités et ses règles. »

Il est donc urgent d’arrêter cette autodestruction, de quitter cette vision qui place l’être humain à l’apogée de l’évolution, alors que nous ne pourrions vivre sans cette intelligence subtile et collective qui est à l’œuvre dans les différents règnes de la Nature. Nous nous sommes totalement déconnectés de l’essentiel...

 « Le cœur a quitté le centre pour la périphérie, fragilisant du même coup notre santé. Et plus les liens avec lui se sont distendus et plus la souffrance humaine a gagné en intensité. »

Comme vous pouvez le constater, c’est un livre qui met en lumière cette incroyable interaction que nous avons avec ces autres dimensions, puisque nous sommes avant tout des êtres de relation et cette présence animale favorise ces liens avec notre propre intériorité, notre identité spirituelle pour une meilleure compréhension de notre incarnation.

« Combien de temps devrons-nous attendre pour comprendre que les maux de nos animaux sont le reflet des nôtres ? »

Il y aurait tellement à dire sur ce livre très bien écrit que je préfère vous laisser le plaisir de le découvrir et, croyez-moi, vous ne le regretterez pas, car c’est un livre plein de tendresse, d’amour qui nous amène à réfléchir sur notre patrimoine énergétique, vibratoire qui est en lien avec la richesse de tous ces règnes, cette grande toile cosmique qui enveloppe et harmonise tout ce qui est. 

Pour une transformation radicale de notre manière d’être au monde, il est grand temps d’en prendre réellement conscience !

 

Pour aller plus loin :

 

 

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3 septembre 2021 5 03 /09 /septembre /2021 10:12

Vous la connaissez peut-être, mais j'avais quand même envie de vous partager cette histoire tellement je la trouve magnifique !

Né le 21 juin 1931 à Syracuse, dans le sud de la Sicile, Enzo Maïorca, ce sportif de haut niveau a battu plusieurs records au cours de sa carrière, jusqu'à atteindre, à l'âge de 57 ans, la profondeur de 101 mètres et cela sans bouteilles.

La célébrité de ce plongeur sicilien, qui a intéressé les médecins français et italiens pendant plus de 30 ans, était devenue planétaire grâce au succès du film Le Grand Bleu, sorti en 1988 en France, dans lequel Jean Reno incarne le rôle de cet apnéiste sous le nom d’Enzo Molinari. 

En 1999, alors qu’il accompagnait les membres de l’association Accademia Kronos durant leur campagne nationale pour la préservation de l’environnement marin, Enzo Maïorca a raconté un événement qui l’a profondément touché alors qu’il s’entraînait en mer avec sa fille Rossana, elle-même détentrice de records d’immersion en apnée.

Avant de s’immerger dans les eaux chaudes de Syracuse, Enzo Maiorca parlait à Rossana restée sur le bateau quand il sentit quelque chose le cogner légèrement dans le dos. 

Il se tourna et vit un dauphin. Il a très vite compris que l’animal ne cherchait pas à jouer, mais à exprimer autre chose. Le dauphin s’est éloigné et Enzo Maïorca l’a suivi à la nage. 

Un peu plus loin, l’animal a plongé et Enzo en a fait de même. À environ 12 mètres de profondeur, il y avait un autre dauphin, empêtré dans un filet de pêche abandonné. Enzo Maïorca est remonté immédiatement à la surface pour appeler sa fille afin qu’elle le rejoigne avec les deux couteaux de plongée qu’ils avaient à bord du bateau.

Il n’a fallu que quelques minutes à ces deux plongeurs aguerris pour libérer le dauphin. Ce dernier a ensuite puisé dans ses dernières forces pour remonter à la surface en émettant un « cri quasi humain », tel que le décrit Enzo Maïorca, pour respirer (un dauphin peut rester sous l’eau une dizaine de minutes, au-delà desquelles il se noie).

Le dauphin libéré, mais étourdi, resta sous l’attention d’Enzo, de Rossana et de l'autre dauphin, quand une surprise arriva... C’était une femelle qui était en train de mettre au monde son petit  ! 

Tandis que la femelle s’éloigna pour s'isoler, le mâle continuait de tourner autour d’eux. Il finit par s’arrêter devant Enzo Maïorca en lui donnant un petit coup sur la joue, comme un bisou, en signe de gratitude, puis il repartit.

Cette merveilleuse histoire a tellement touché le public sur place, que tout le monde s’est levé et l’a longuement et chaleureusement applaudi. 

Enzo Maïorca a conclu son intervention en déclarant : 

 « Tant que l’homme n’aura pas appris à respecter et à dialoguer avec le monde animal, il ne pourra jamais connaître son véritable rôle sur cette Terre ».

 

 

Sources :

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22 août 2019 4 22 /08 /août /2019 15:57

Éditions Eyrolles

Ce qu'il faut avant tout savoir :

Éric de Kermel est journaliste et éditeur de magazines de nature dont Terre Sauvage. Il a vécu sa jeunesse entre le Maroc et l’Amérique du Sud, avant de rejoindre la France où son port d’attache est désormais un coin de garrigue du côté d’Uzès. Père de quatre enfants, il met ses mots au service d’un engagement écologique et humaniste et porte au quotidien la préoccupation de rendre notre monde plus doux et accueillant pour ceux qui l’habitent.

Résumé du livre :

Ana est écologue. Elle analyse l'impact des activités humaines sur l'environnement et la biodiversité. Alors qu'elle exerce son métier avec une exigence passionnée, elle commet un jour une erreur qui la conduit à tout remettre en cause... Elle quitte alors Paris pour rejoindre la vallée de la Clarée où, en même temps que l'enfant qu'elle était, a grandi son amour profond pour la nature. Hébergée par son oncle Pasco qui tient un refuge de montagne, Ana renoue avec ses amis de toujours et retrouve peu à peu le goût de la vie. Les alpages, les torrents, les lacs et les sommets, compagnons familiers du passé, se font les témoins muets de ses doutes d'aujourd'hui. Ana s'apaise et s'interroge : qu'a-t-elle fait de ses rêves d'enfant ? Comment incarner dans sa vie cette harmonie entre homme et nature à laquelle elle aspire ? Au-delà de la communion avec la nature, l'écologie n'est-elle pas ce chemin qui invite à nourrir aussi le lien avec soi-même et avec les autres ?

Ana est écologue et dirige l’Agence de sécurité sanitaire qui effectue les tests sur les produits que les sociétés chimiques décident de mettre sur le marché. Amoureuse de la nature, elle prend son métier très au sérieux. Puis un jour tout bascule, sous la pression du ministère qui fait face à de très gros enjeux commerciaux, elle se voit contrainte d’autoriser la vente d’un produit tueur de libellules.

Cette éco-guerrière dans l’âme, qui ne peut plus concilier ses idéaux avec son activité, décide de tout plaquer en quittant la capitale pour se réfugier dans la vallée de la Clarée, au cœur des Alpes, où elle a grandi.

Ana y respire de nouveau, renouant avec ses racines, ses amis. De jour en jour, elle retrouve cette alliance avec la nature, avec ses rêves d’enfant qui l’aide à réfléchir sur son avenir et celle de la planète.

Quant à la Clarée, c’est une vallée qui, comme les forêts d’Amazonie, les montagnes du monde, les éléphants d’Afrique, les abeilles et les libellules, les océans et les mers, est sous ma responsabilité. Si je ne parviens pas à la protéger, elle qui est devant mes yeux, elle où je viens pour quelques jours ou pour y vivre, je porte alors ma part de responsabilité dans la marche du monde.

Éric de Kermel, à travers ce roman initiatique, nous ouvre les yeux sur une bien triste réalité en invitant chacun d’entre nous à renouer avec la nature, suivre le rythme de ses saisons, retrouver un juste équilibre en apprenant à la connaître, la respecter.

C’est un joli et très poétique hymne à la faune et la flore que j’ai pris plaisir à lire en m’arrêtant par moment pour regarder les oiseaux, les papillons qui virevoltaient et les splendides et pourtant si fragiles arbres qui m’entouraient…

« … l’amour de la nature peut nous donner le courage de la protéger… l’amour de l’autre, la paix intérieure, peuvent redonner du sens à notre présence sur cette planète. » Cyril Dion (extrait de la préface)


Pour aller plus loin :

Entretien avec Éric de Kermel à l'occasion de la rencontre entre l'auteur et les lecteurs de Babelio le 28 mai 2019. Découvrez les mots choisis par l'auteur pour évoquer son roman Mon cœur contre la terre, paru aux éditions Eyrolles.

 

 

  • Lire l'article sur le site de RCF Radio : «  Éric de Kermel est l'un des intervenants de l'université d'été de l'écologie intégrale. Pour lui, l'un des mots clés de la conversion écologique est "réconciliation ».

 

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Praticienne en Fleurs de Bach et Fleurs de l'Atlas

Retrouvez moi sur mon AUTRE BLOG si vous désirez un conseil ou voir les différentes formules et préparations, y compris pour vos animaux :

 

 

Aujourd’hui il est reconnu que la majorité de nos symptômes physiques proviennent d’un déséquilibre émotionnel.

 

Grâce aux Fleurs de Bach ou Fleurs de l'Atlas (Fleurs de Bach sans alcool), vous allez pouvoir rééquilibrer vos émotions et comportements.

 

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